Le karma et le chemin de vie

Le thème natal, en astrologie, synthétise le karma, ce qui nous permet d’explorer certaines causes profondes, celles de notre venue sur Terre et de nos difficultés. L’étude karmique (voir les consultations -étude n°1) indique aussi le chemin évolutif …

Qu’est-ce que le karma ?

Le mot karma (en sanskrit) a pour traduction « action ». Il désigne la loi de cause à effet. Chaque acte, chaque pensée, chaque parole génèrent une conséquence : c’est le karma. Le karma est continuellement à l’oeuvre, et son action implique aussi bien le plan matériel que le plan astral.

On rattache généralement la notion de karma à celle de la réincarnation des âmes. Cependant, le karma est une notion plus générale qui s’applique en fait à chaque instant de notre vie.

Le karma n’est pas seulement personnel; il prend des dimensions variées : il existe des karma collectifs, concernant les peuples, les groupes, les familles – l’identification aux ancêtres familiaux peut être rapprochée de la notion de karma. S. Lazarev, dans Diagnostic karmique (2002), expliquait ses méthodes de guérison : il pratiquait des lectures karmiques dans « le champ » de ses patients (l’esprit, le subconscient, les corps subtils), afin de les guérir de certains maux. Sa vision du karma était résolument élargie, par exemple : « Non seulement les enfants héritent du karma des parents, mais les parents sont également tributaires, au niveau de leur champ, du comportement et des actes des enfants. »

Nos vies antérieures influencent notre vie actuelle, même si nous ne les gardons pas en mémoire. Dans Karma et réincarnation, P. Morando compare ce phénomène à l’oubli de notre vie actuelle ! Nous ne savons plus ce que nous avons fait l’année dernière, le même jour à la même heure, et nous ne savons plus comment nous avons appris à marcher (etc.) « Nous pouvons en déduire que le mécanisme est similaire en ce qui concerne nos vies successives. Nous conservons dans notre mémoire inconsciente la trace de tout notre vécu à travers nos incarnations passées. Cette trace, bien qu’inconsciente, est réelle et c’est pourquoi nous attirons dans notre vie présente, certains événements, certains êtres plutôt que d’autres, c’est pourquoi nous orientons notre vie dans telle direction et non telle autre. »

Karma et chemin de vie dans le thème astral

Le thème natal, en astrologie, souligne la nature du karma que chacun d’entre nous a accumulé dans ses vies antérieures. En effet, l’astrologie karmique repose sur la croyance en la réincarnation de l’âme, et généralement traite du karma personnel. On peut étendre l’interprétation karmique, et tenir compte des autres types de karma, collectifs notamment.

D’une vie à l’autre, il semble que nous ne reprenions qu’une partie du karma accumulé, afin de le transmuter. Ceci est préparé avec nos guides durant l’entre-deux vies, un sujet abordé dans les articles La vie de l’âme après la mort et les séjours planétaires, et La position des planètes dans notre thème astral est déterminée avant notre naissance.

Grâce au thème astrologique, on peut disposer de la synthèse du karma à l’oeuvre dans notre vie, mais aussi de nos acquis provenant de vies antérieures, et de l’évolution que nous devons accomplir sur notre chemin de vie actuel. Ainsi, nous pouvons davantage comprendre quelles situations de notre existence sont reliées à notre « test » karmique. Le thème donne aussi des pistes pour comprendre l’origine de la majorité de nos difficultés.

De nombreuses personnes ignorent cette dimension de l’existence et les possibilités qu’elles ont de cheminer dans la connaissance de soi, ce qui engendre parfois un sentiment de non sens, un désespoir, ou encore de l’agressivité -comme on ne comprend pas, ce sont les circonstances de la vie, ou les autres qui sont certainement responsables de nos malheurs.

L’étude karmique est toujours significative, même si l’on est sceptique quant à l’existence de la réincarnation. En effet, par expérience, on constate qu’elle trouve toujours une résonance chez le natif qui reconnaît des tendances personnelles qu’il a déjà perçues en lui-même, de façon subjective, des tendances à l’origine de ses difficultés et des tendances porteuses d’évolution.

L’origine du karma

Le karma est lié au jugement moral. D’après ses expériences, S. Lazarev a acquis la « compréhension de ce que l’origine de la maladie est liée à une atteinte aux lois éthiques ».

La croyance en un karma punitif est assez répandue aussi, mais c’est une vision plus infantile. Même si l’on peut buter sur de vrais problèmes au cours de notre vie, il n’y a pas de punition. Cette croyance satisfait en fait des besoins de vengeance. Pourtant, en y réfléchissant de plus près, la vengeance est le meilleur moyen d’accumuler beaucoup de karma : « Croire au karma-punition nous rassure mais nous culpabilise aussi, car nous sommes loin d’être parfaits. » (P. Morando, Karma et réincarnation)

Pour P. Morando, ce qui détermine le karma, c’est précisément le non respect de nos valeurs profondes : « ce n’est pas le fait en soi d’avoir mal agi, d’avoir nui à quelqu’un, qui peut créer le karma négatif. La notion de bien ou de mal est quelque chose de très relatif (…) La vraie raison d’un karma négatif réside bien souvent dans le fait que l’être a transgressé des croyances éducatives, des principes moraux profondément ancrés en lui, provoquant un grave conflit intérieur, conscient ou inconscient. »

Pour d’autres chercheurs, le karma est avant tout lié à tout ce que nous générons par habitude et par inconscience.

Le thème astrologique indique quel karma nous avons à régler, et dans quelle direction fournir des efforts pour corriger certaines de nos tendances peu évolutives.

Anne L jesuisjecree.com

Affaire Dupont de Ligonnès

Cet article d’astrologie commente succinctement le thème de Xavier Dupont de Ligonnès, suspecté d’avoir tué sa femme et ses quatre enfants.

Le contexte de l’affaire

L’affaire Dupont de Ligonnès est de nouveau médiatisée actuellement. Voilà dix ans qu’elle n’est pas élucidée. En avril 2011, la mère de famille et ses quatre enfants âgés de 13 à 20 ans ont été retrouvés morts et enterrés sous de la chaux vive dans leur maison à Nantes. C’est le père le suspect qui est en fuite et qui n’a jamais été retrouvé. De tels meurtres soulèvent évidemment un sentiment d’horreur, tant il touche à des principes « sacrés », comme la famille, les enfants, le couple.

Dupont de Ligonnès était un personnage bien vu de ses amis. Dans son thème, l’amas de planètes en maison XI -Jupiter, le Soleil, Saturne, Mercure- peut favoriser un rayonnement auprès des amis, dans des groupes, et une forme de popularité. Cependant, sa femme qui se confiait sur des forums sur internet révélait des difficultés dans son couple, un mari peu aimant, « macho », une personnalité froide, trop « cadrée ». La prédominance du Capricorne, entre autres, et la conjonction Soleil-Saturne dans ce signe peut en effet évoquer une forme de rigidité -et un problème relatif au principe « père », en plus d’autres difficultés développées dans les lignes qui suivent.

Xavier Dupont de Ligonnès, 9 janvier 1961, à 11 h 15, Versailles

Le nom Dupont de Ligonnès fait référence à une très ancienne famille noble française. La famille était d’ailleurs catholique pratiquante, traditionaliste. Les enfants fréquentaient des écoles privées catholiques, et la mère était adjointe à la vie scolaire dans un établissement. Cependant, on apprend que Xavier Dupont de Ligonnès ne semblait guère pratiquer, ni aller à la messe.

Il connaissait notamment des difficultés professionnelles et un manque d’argent, ayant créé plusieurs affaires aussi peu florissantes les unes que les autres, et comptant sur l’argent provenant d’un héritage de sa femme. La situation devenait intenable, et, d’après des sources émanant de l’enquête, il avait écrit à un moment qu’il y avait deux solutions, soit le suicide seul, soit le « suicide » de la famille (un meurtre).

Au moment de la disparition de la famille, en avril 2011, il avait prévenu l’école que la famille déménageait en raison d’une mutation soudaine aux Etats-Unis. D’autres écrits sont apparus également, accréditant la thèse d’un lien de Dupont de Ligonnès avec des services secrets américains … Certains des membres de sa famille doutent d’ailleurs de sa culpabilité, soulignant notamment que les corps retrouvés dans la maison n’ont pas été scientifiquement identifiés -et ils étaient méconnaissables

Thème natal du suspect et transits de 2011 …

Cet article d’astrologie ne propose pas d’enquête sur ce meurtre, ce qui demanderait une observation plus minutieuse, mais quelques commentaires sur le thème natal du suspect, et sur le climat à l’époque de l’affaire (les bribes du thème sont assez éloquentes, toutefois).

Ce qui ressort, dans le thème natal, outre l’amas de planètes en maison XI, suggérant quelqu’un qui gravite dans des sphères collectives, c’est Mars rétrograde en Cancer, en maison IV et en carré à la Lune.

Mars rétrograde indique un karma concernant l’action, l’affirmation de soi, l’agressivité. Il demande au natif d’effectuer au cours de sa vie une révision sur ce plan. Ce Mars rétrograde est à mettre en corrélation avec les difficultés de Dupont de Ligonnès dans ses entreprises et dans ses affaires. D’ailleurs, la maison IV est celle qui s’oppose symboliquement à la maison X, lieu de réalisation sociale …

Dans le langage astrologique, la maison IV, le signe du Cancer et la Lune sont tous les trois en correspondance. Ils sont en effet symboles de la famille et de la femme. Ainsi, la planète Mars, dissonante, est étroitement reliée à cette thématique familiale et féminine, dans le thème de Dupont de Ligonnès. Son affirmation personnelle et son agressivité potentielle s’expriment de façon privilégiée dans la sphère familiale, et auprès de sa femme -c’est aussi la figure du « macho ».

Sur le plan psychologique, cette position de Mars suggère également, pendant son enfance, une difficulté à acquérir son autonomie au sein de la famille, et surtout une opposition à sa mère -avec qui les rapports ont pu être conflictuels.

De plus, la Lune, qui se trouve en Balance et en maison VII (signe et secteur du conjoint) démontre que, dans le psychisme du natif, il y a une identification très forte mère/épouse. Ainsi, plus que quiconque, il projette inconsciemment sur sa femme ses propres problématiques psychologiques rencontrées avec sa mère.

On voit également une Vénus en Poissons, en maison XII, en opposition à Uranus et surtout à Pluton. Cette opposition se forme sur les nœuds lunaires, significateurs karmiques. Ces positions dissonantes montrent une affectivité vécue avec difficulté, et des relations marquées par des problématiques d’origine inconsciente (et karmique), suggérant des jeux de pouvoir, une destructivité, un extrémisme …

Ce sont des données potentiellement négatives -même si ces positions planétaires sont présentes dans le thème de milliers d’individus et que chacun va vivre ces aspects à sa manière propre.

Début 2011, l’année du déroulement des faits, les nœuds lunaires étaient positionnés sur l’axe Cancer-Capricorne. Le nœud nord de la Lune en transit était d’ailleurs en conjonction de Pluton dans le ciel, reproduisant un aspect présent dans la nativité de Dupont de Ligonnès. En outre, ces positions étaient présentes dans la révolution solaire du natif, celui-ci étant né au mois de janvier.

La conjonction Noeud nord-Pluton était une invitation à la remise en question, à une transformation profonde …

D’autres transit apparaissent pour le moins significatifs. Le nœud sud de la Lune en Cancer transitait Mars rétrograde natal, réactualisant les problématiques de cette planète … La signification karmique de Mars était multipliée. Mars en IV recevait en outre l’opposition du duo Noeud nord-Pluton transitant en maison X (la carrière). On comprend que les difficultés de réalisation professionnelle du natif étaient à leur comble.

Au moment de la disparition de la famille, les nœuds lunaires n’étaient plus à cette place, mais Pluton transitait toujours en X, en opposition de Mars natal, et en carré à Uranus qui venait d’entrer en Bélier. Pluton et Uranus, les deux planètes conjointes au nœud nord dans le thème natal, se trouvaient donc en dissonance avec Mars rétrograde natal suggérant un déchaînement potentiel d’instincts violents, et une action radicale …

Anne L jesuisjecree.com

Des relents de nazisme à notre époque

Un article d’astrologie, écrit en novembre 2015 sur ce site (consultable ici), alertait sur le fait que plusieurs cycles planétaires, associés à la montée du nazisme en 1933, ressortaient aujourd’hui, favorisant certaines résurgences …

Ces cycles étaient notamment celui d’Uranus, qui faisait, en 2015, son retour à la même position qu’en 1933, celui de Neptune qui était exactement en opposition (et à mi-parcours de son cycle), celui des nœuds lunaires qui effectuaient un retour à leur position en 33. En outre, un carré Uranus-Pluton était formé, comme à l’époque d’Hitler.

Dans cet article datant de 2015, la configuration avait été associée à l’entité « Etat islamique », créée durant ces configurations planétaires. Aujourd’hui, ces configurations impliquant des astres très lents sont toujours d’actualité. Elles peuvent correspondre aux années qui ont suivi 1933, celles de la seconde guerre mondiale.

La société française à l’heure du gouvernement Macron

En effet, depuis 2015, nous avons vu l’accession au pouvoir de Macron, puis ses répressions, faisant éborgner et mutiler des manifestants pacifiques. Il s’agissait manifestement de traumatiser la population, et de le faire pour l’exemple, afin de dissuader toute révolte. Ainsi, toute opposition à la politique de Macron est interdite.

Ce qui semble fasciste, aussi, c’est que la police et la justice font souvent corps avec le pouvoir politique en place. (Certains préfets aussi disent à la population : « Nous ne sommes pas dans le même camp »). D’après des articles de presse au sujet des procès intentés par des manifestants, la justice traite les plaintes comme celles de victimes de policiers isolés (qu’ils n’identifient pas toujours, d’ailleurs …), tout en feignant de méconnaître que c’est l’Etat français et le gouvernement qui sont les donneurs d’ordre.

Depuis la loi Sécurité globale est passée, bien qu’elle soit très controversée à juste titre, et l’on apprend que le gouvernement Macron vient de faire une commande massive de 170 000 LBD pour faire passer sa politique et soumettre le peuple.

De même, le régime incarné par Macron fonctionne de façon fasciste parce qu’il fait appel aux tendances sombres des individus, comme la collaboration au mal, ou la délation. On voit aussi que, comme toujours en cas de dictature – un abus de pouvoir collectif comparable à une relation perverse entre deux personnes, certains individus dans la population refusent de voir la vérité et choisissent le déni. Pour la France, cette situation est une résurgence de la période de l’Occupation allemande, pendant la seconde guerre mondiale. Et comme souvent des églises et des prêtres ont été tracassés durant la crise, il y a également une résurgence d’anticléricalisme et d’antichristianisme, comme durant la révolution française, où de nombreux prêtres ont été exécutés. En effet, les époques s’enchevêtrent, et certains cycles, ceux de Jupiter et Saturne, celui de Pluton, font directement référence à cette époque. Voir à ce sujet l’article sur la révolution., proposant un regard critique sur ce qu’on n’a pas le droit de critiquer.

Mais poursuivons, afin de préciser la dimension totalitaire et nazie du régime …

L’idéologie du mondialisme

Pour le curieux, l’idéologie mondialiste, prônée par nos dirigeants, a été décrite par Karl Schwab, fondateur du forum de Davos, appelant de ses vœux le Great Reset dans son livre. Il anticipe la « quatrième révolution industrielle », qui serait celle de la fusion entre l’homme et la technologie -c’est-à-dire le transhumanisme, une idéologie comparable au nazisme, prônée par de nombreux personnages influents mondialement, et en France, notamment par des alliés de Macron, qui appartient à cette nébuleuse politique.

Cette idéologie mondialiste, dans la continuité des totalitarismes du XXème siècle, prétend créer « l’homme nouveau ». En effet, toutes les idéologies tueuses ont voulu rééduquer et contrôler l’homme. Celui-ci est considéré comme un spécimen de la masse (non un individu), souvent mauvais (selon leur analyse). La société inspirée du nazisme a prétendu créer la race aryenne pure avec toute la doctrine associée, et ensuite ce fut le communisme, qui a de même embrigadé la jeunesse pour créer un citoyen-modèle entièrement contrôlé, surveillé et soumis à un lavage de cerveau.

Pour Laurent Alexandre, soutien de Macron, mondialiste et transhumaniste, le monde de demain sera composé par « des dieux et des inutiles », un langage proche de celui des nazis.

De même, l’idéologie mondialiste prétend surveiller le citoyen et modeler sa vie entière, sa vie personnelle et intime, tous ses faits et gestes, son travail, ses opinions et ses croyances, sa « spiritualité » (justement interdite …)

L’agenda 2030 sert cet objectif et l’une des devises du citoyen-esclave (au corps connecté…) est la suivante : « Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai pas de vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle. » (Karl Schwab)

Les obsessions des mondialistes sont aussi la dépopulation (donc le génocide), et sans doute le contrôle de la conception des enfants, à terme. Cela arrivera forcément si les hommes et les femmes deviennent stériles à cause des médicaments, de l’alimentation polluée, des vaccins …

Toute vie étant brevetée, elle devient propriété privée des multinationales et de l’élite qui dirige la planète. Modifier le génome humain (après l’appropriation du monde végétal, et du monde animal), est un moyen de disposer du brevet du génome modifié dans le corps humain. Dans ce monde, les êtres humains pourront faire l’objet d’une « fabrication » ou d’une « production », et d’un commerce, comme de la marchandise.

Cela va de pair avec la confusion entre l’homme et la machine, entre le vivant et la technologie.

La prise de pouvoir total

L’idéologie dominante, depuis de nombreuses années, tend à refuser à chacun le droit d’être autonome et de faire des choix, par exemple au sujet des thérapies médicales, mais plus généralement dans le domaine de la pensée. En effet, certains spécialistes choisis pensent à la place du citoyen, et le débat public est absent, car le peuple n’est compétent en rien pour ce qui le concerne.

Dans de nombreux métiers et fonctions, on est de moins en moins autonome et on a de moins en moins la liberté d’exercer sa profession selon sa conscience. Chacun doit devenir un agent de l’autorité ou de la hiérarchie : c’est le cas des policiers, des médecins, mais aussi des agriculteurs, des enseignants, etc. C’est évidemment le cas des politiques, au sommet. On défie quiconque de trouver un homme politique indépendant, [et l’on demande au lecteur de ne pas appliquer une étiquette politique (gauche/droite) sur ce texte et sur les autres articles politiques sur ce site.]

La vie privée, de même, doit disparaître. Tout citoyen doit être soumis au traçage de ses déplacements, de ses paiements, surveillé par les caméras, au cours de ses navigations sur internet, ses codes secrets consignés. Tout citoyen doit être bientôt identifié par l’intelligence artificielle, avec son passeport sanitaire/vert, par exemple. Ses empreintes, l’iris de ses yeux, sa face, sa voix seront reconnus, et les nanotechnologies connecteront son corps à internet.

Regard d’une rescapée d’un camp nazie

Vera Sharav, une femme juive qui a été enfermée toute jeune dans un camp nazi durant la seconde guerre mondiale, est engagée, notamment dans les questions qui se posent autour des expériences médicales et pharmaceutiques.

Elle fait remarquer dans une interview (traduite en français) que la gestion de la crise sanitaire renvoie au nazisme, parce que cette dictature implique la médecine et les médecins, et que cela est une particularité du nazisme.

Elle a été alertée par la situation en Israël, sorte de modèle d’aboutissement de la politique sanitaire. En effet, une grande partie du peuple obéit apparemment aux consignes et se fait vacciner en raison de la peur et en raison d’une propagande intense. Les non-vaccinés sont marginalisés.

Vera Sharav note que cette propagande vise à imposer une politique qui n’est pas mise en place selon les méthodes démocratiques, mais élaborée à huis clos. En France, également, différents politiques comme Dupont-Aignan ont alerté sur une confiscation de la démocratie, en raison du prolongement de l’état d’urgence sanitaire, qui donne des droits exorbitants au gouvernement. Jean-Luc Mélenchon a informé qu’avant chaque conseil des ministres, se tient un « conseil de défense » secret, constitué de 9 membres. Le gouvernement entérine les décisions et transmet (elles ne sont pas discutées). Ces 9 membres étant soumis au secret-défense, ils n’ont de compte à rendre à personne et ne peuvent pas être poursuivis en Haute Cour de Justice … Ils ne sont donc pas « responsables … » des décisions prises (à retenir).

Par ailleurs, le nazisme est aussi un régime eugéniste (de même que la Chine, à ce jour, et modèle pour les mondialistes). A cet égard, le docteur américain Carrie Majed précise bien que son compatriote Bill Gates appartient lui aussi à une famille eugéniste (voir à ce sujet l’article Mieux connaître le milliardaire Bill Gates). Il est également lié à la Chine.

D’après sa longue expérience, Vera Sharav stipule que les eugénistes existent toujours et sont aujourd’hui appelés les « bioéthiciens ». C’est sous ce vocable qu’on les retrouve. A cet égard, on peut penser à la « loi bioéthique », récemment promulguée, sans débat avec la population, qui permet dorénavant de pratiquer l’avortement jusqu’au neuvième mois de grossesse. On notera par ailleurs que les « vaccins », de nos jours, contiennent des composants provenant de foetus humains. Ainsi, certains avortements sont peut-être associés à des vues « scientifiques », économiques et « politiques ».

Durant la crise du Covid-19, une pratique a rappelé à Vera Sharav le triage des juifs par les nazis pendant la Shoah : il s’agit de la mort des personnes âgées, décrétée politiquement en Israël. En France aussi, le décret du 27 mars 2020, a préconisé d’euthanasier les anciens (Ce décret a été dénoncé fortement sur ce site).

Vera Sharav précise bien que « ce n’est pas fini » et demande : « qui seront les suivants ? »

Ce n’est qu’un rapprochement personnel, mais je répondrais : peut-être les « inutiles ».

Vera Sharav note enfin que c’est exactement la même politique qui a été mise en place dans tous les pays occidentaux. (Israël est le modèle que Macron compte suivre.) Vera Sharav dit que c’est la preuve que cette politique est « orchestrée » et « concertée ».

Le but de ces mises à mort de personnes âgées, selon elle, est « se débarrasser d’un fardeau économique ».

J’ajoute qu’il s’agit peut-être de tester également les réactions dans la population, et de l’habituer à des mises à mort que l’on appellera des « euthanasies ». (On notera à cet égard le peu de réaction du peuple quand on a fait tuer les personnes âgées atteintes du covid.) La loi sur l’euthanasie vient d’être promulguée et ce n’est peut-être pas un hasard, prouvant que le sujet est bien sur le feu.

Il y a eu refus de soigner les gens âgés, et interdiction de tenter de les soigner s’ils étaient trop faibles, ce qui est contraire à l’éthique médicale et pourtant soutenu par l’Ordre des médecins, en France.

Il existe différents traitements pour cette maladie, mais ils sont également interdits en Europe et particulièrement en France. Ils ne sont pas essayés, parfois jugés très dangereux (comme l’hydroxychloroquine, devenue « substance vénéneuse », alors que les vaccins, mis au point rapidement, semblent sûrs aux autorités.)

Au sujet de l’euthanasie, Jacques-Attali-a-dit : « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future ». La pensée du pauvre Attali aurait été déformée, et il a gagné son procès contre ceux qui l’accusent de prôner l’euthanasie, alors je cite sa pensée selon ses défenseurs (source :Une citation déformée de Jacques Attali sur l’euthanasie (dpa-factchecking.com)

Dans le roman Le Meilleur des mondes, une fiction qui fait aussi (et de plus en plus) office de guide du nouvel âge,  l’euthanasie active est la norme dans la société. La population de l’Etat mondial l’a acceptée, en raison de son exposition à l’hypnopédie, ce conditionnement mental, sorte de propagande systématique administrée dès le plus jeune âge pour inscrire les croyances de chaque « être humain », caste par caste.

Rappelons que les « vaccins » sont des thérapies géniques expérimentales, qui peuvent modifier le génome humain, selon des médecins, et qu’ils contiennent des technologies, tels luciferase et hydrogel, comme l’a précisé le docteur américain Carrie Majed évoquant le « vaccin » Moderna.

Rappelons qu’il existe le code de Nuremberg, justement confirmé après la seconde guerre mondiale et les expérimentations nazies sur les prisonniers des camps, qui demande un consentement effectif (par écrit), libre et éclairé, de la part de celui qui se soumet à une expérimentation. Il doit être très bien informé (des bénéfices et des risques, des autres traitements, etc.) et ne subir aucune pression.

Anne L jesuisjecree.com

Comment tourner la page ? (et le thème de Mika)

« Tourner la page », voici une expression qui fait référence à un cheminement, à une capacité de détachement et, à un niveau plus profond, au deuil, à nos changements de conscience potentiels.

Cet article d’astrologie propose quelques principes pour apprendre à tourner la page, quand le processus semble difficile, un sujet d’actualité, sous les influx du carré Saturne-Uranus (2020-2023) …

Un commentaire du thème du chanteur Mika apporte une illustration des périodes de grand changement, et de la façon dont chacun y réagit.

*

*

Dans la vie, nous devons parfois changer de direction, dans nos projets, passer outre une erreur, ou bien traverser des passages étroits, et apprendre à laisser le passé derrière soi …

Il s’agit parfois d’un long processus, entravé, par exemple, par des dépendances, des attachements, de la rancune …

Accepter la remise en question

Pour pouvoir tourner la page, il faut savoir accepter des remises en question diverses, au sujet de nos croyances ou de nos prétentions.

En effet, les difficultés que nous rencontrons sont dues à nos comportements erronés.

Nous pouvons par exemple identifier, puis remettre en question, certaines de nos croyances personnelles, qui expliquent la nécessité d’une remise en question aujourd’hui. Si nous avons pensé, par exemple, que pour être heureux, il fallait obtenir l’approbation et la reconnaissance des autres, nous rencontrons des déboires dans notre vie, notamment au moment où nous ne sommes pas/plus à notre avantage dans le regard des autres. Cette croyance demande donc un réajustement, car la recherche de l’approbation et de la reconnaissance de la part d’autrui cache en réalité un manque d’estime de soi et une dépendance.

Il s’agit aussi de détecter ce qui relève de nos prétentions. Par exemple, si nous expérimentons une déception, c’est peut-être parce que nous avions conçu des attentes par rapport à la vie, par rapport à certaines personnes. En réalité, nous avions sans doute plaqué nos désirs personnels sur certaines choses (ou certaines personnes), sans prendre suffisamment en compte le réel, nos possibilités, les circonstances, les personnes. Il s’agit alors de remettre en question nos propres prétentions à « obtenir » ce que nous souhaitons, le « bonheur » (une certaine idée du bonheur), et aussi de nous interroger sur la nature de ce « bonheur », sur ses composantes et surtout sur ce qu’il est censé compenser.

Accepter le changement et l’impermanence

Nous avons naturellement tendance à résister au changement, et l’ego met en œuvre une foule de stratégies pour cela.

Pourtant, tout nous démontre que nous vivons dans un monde où tout change constamment. Les planètes, les étoiles et les galaxies voyagent à grande vitesse dans le cosmos, les cycles planétaires marquent le passage du temps et rythment les époques, qui sont définies parfois par des ruptures ou des cassures, sans retour possible. De même, nos vies sont une suite de changements profonds, comme la naissance, l’adolescence, le vieillissement, la mort. Nous sommes nous-même une suite de transformations. (Voir à ce sujet l’article Les transits de Pluton, ou la mue plutonienne). Les êtres autour de nous changent : notre beauté se fane, nos enfants grandissent, nos proches sont mortels, les choses que nous aimons disparaissent …

Pour vivre le changement, être le changement, il est nécessaire de se détacher de ses habitudes et de renoncer à ses identifications ; cela nécessite de les reconnaître.

Il s’agit peut-être de notre travail, une belle promotion résultant d’années d’efforts, stable, mais aussi … terriblement ennuyeuse.

Il s’agit peut-être de l’importance que nous accordons à notre rôle social, ou bien encore de notre vie de couple…

Il s’agit peut-être d’un aspect de nous-même : notre « moi » volontaire et ambitieux (toujours au taquet, il ne connaît pas la léthargie ni la déprime).

Ou bien notre personnalité gentille et bien sage (qui s’attend à obtenir une récompense).

S’accepter

Pour tourner la page, il est essentiel d’accepter mentalement de vivre cette expérience, et d’accepter l’image qu’elle nous renvoie de nous-même. Il s’agit de s’accepter entièrement dans cette situation. Il s’agit de ressentir notre souffrance, notre colère, notre tristesse, notre chagrin. En effet, l’obstacle à une évolution serait de ne pas accepter la situation et à travers cela, le mal-être qui est le nôtre.

Cette étape de notre vie est un changement de conscience. On peut faire de la méditation et des prières pour accéder à un détachement, pour se recentrer dans le présent, pour se libérer, si nécessaire, du ressentiment ou de la rancune.

Ainsi, nous pourrons tourner la page, qui ne serait une décision superficielle, factice ou violente, mais le fruit mûr au terme d’un retour sur soi, auquel la vie nous a convié en réalité, et d’un changement de conscience.

Tourner la page suppose d’effectuer un voyage intérieur, de procéder à un renoncement et d’expérimenter une régénération.

*

Il faut tourner la page
Changer de paysage
Le pied sur une berge
Vierge

Il faut tourner la page
Toucher l’autre rivage
Littoral inconnu
Nu

Et là, enlacer l’arbre
La colonne de marbre
Qui fuse dans le ciel
Tel

Que tu quittes la terre
Vers un point solitaire
Constellé de pluriel

Il faut tourner la page
Redevenir tout simple
Comme ces âmes saintes
Qui disent dans leurs yeux
Mieux

Que toutes les facondes
Des redresseurs de monde
Des faussaires de Dieu

Il faut tourner la page
Jeter le vieux cahier
Le vieux cahier des charges
Oh! Yeah!

Il faut faire silence
Traversé d’une lance
Qui fait saigner un sang
Blanc

Il faut tourner la page
Aborder le rivage
Où rien ne fait semblant

Saluer le mystère
Sourire
Et puis se taire

(Claude Nougaro)

*

Le chanteur Mika

Malgré le décès de sa mère en janvier 2021, le chanteur Mika affiche dans les médias un entrain à toute épreuve. Des journaux « people » l’ont interrogé sur sa façon de vivre son deuil.

Celui-ci a déclaré qu’il voulait « métaboliser la peine autant que la joie », « chaque fois que la vie vous blesse, quand quelqu’un vous quitte ou décède, c’est un chapitre qui se ferme et un autre qui se présente » et il a conclu :  “Je ne veux pas être écrasé par la vie, le stress, la tristesse. Et je sais que c’est facile de l’être. Je veux répondre à la mort autant qu’à la vie avec la même férocité ( sources : femmeactuelle.fr, Télé7jours)

Dans le thème de Mika, on remarque évidemment une conjonction Saturne-Pluton ! Mika est né au début des années 80, et comme les personnes de son âge, son thème natal comporte la dernière conjonction entre ces deux planètes avant celle qui a eu lieu en 2020, et dont il a été question dans l’article consacré à ce sujet (La conjonction Saturne-Pluton qui s’en vient).

Mika, 18 août 1983, 00H05, Beyrouth

Mika est pudique, et il est lié à la rencontre des autres, à travers une forme de communion (la musique). Cependant, cet aspect natal tend à donner un caractère fort et Mika, derrière son sourire et son enthousiasme est plus « dur à cuire » qu’on ne l’imagine.

En 2020, Mika a connu la pandémie, les explosions de Beyrouth (dans son pays d’origine) et la fin de vie de sa mère atteinte d’un cancer.

En effet, la conjonction Saturne-Pluton de 2020 transitait au carré de sa conjonction natale, tandis que Neptune en Poissons forme un carré à sa position de naissance et à la Lune natale. Il s’agit d’un moment de crise important dans la vie de Mika, qui affecte le principe « mère », et le pays natal, tous deux symbolisés par la Lune, en astrologie.

C’est aussi un événement de nature karmique, d’après le thème astral de Mika. Les transits se poursuivent et les années qui viennent vont certainement correspondre, dans la vie de Mika, à un changement profond …

Anne L jesuisjecree.com