Jupiter-Saturne : le gagnant et le perdant, deux tendances intérieures à harmoniser

Cet article d’astrologie propose une réflexion en accord avec les nombreux aspects formés par Jupiter et Saturne dans le ciel, du sextile de 2023-2024 au trigone de 2025-2026, en passant par le carré (en 2024-2025).

En effet, nos expériences peuvent donner lieu à des prises de conscience sur ces deux énergies.

Cet article réconciliera également les Saturniens dissonants et les Jupitériens adaptés … 🙂

Nous avons l’habitude d’opposer les gagnants et les perdants, comme s’il s’agissait de catégories séparées. Nous vivons dans une société qui les distingue nettement, comme deux types sociaux.

Celui qui occupe la place de président en France a dit qu’il y avait « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien. » Evidemment, le propos est particulièrement caricatural ; cependant, les propos d’un président -aussi peu légitime paraisse-t-il encore aux yeux de certains- représentent forcément une idée et une problématique présentes dans la société.

Il peut également polariser les idées collectives dans un sens qui lui convient pour des raisons politiques- en tant que personne qui détient le pouvoir, et représente d’autres tenants du « pouvoir ».

Le symbolisme astrologique est aussi un support de réflexion, et dans le langage de l’astrologie, ces deux tendances -les gagnants et les perdants- ne sont pas séparées.

En effet, quand on étudie les thèmes de personnes qui représentent une forme de réussite (qu’on a une expérience dans ce domaine), on trouve des aspects jupitériens harmonieux, liés à la thématique de la réussite de la personne. Toutefois, et cela devient intéressant, on trouve également des aspects dissonants de Saturne, également en rapport avec les activités de la personne concernée …

A priori, les aspects facilitants impliquant Jupiter et les aspects durs avec Saturne représentent justement des tendances opposées, Jupiter souligne le succès, tandis que Saturne signe les échecs.
Et pourtant, l’expérience prouve que ce n’est pas systématique : les aspects dissonants de Saturne se manifestent aussi en réussites sociales (notamment) remarquables.

On parlera en ce cas d’une réussite basée sur une compensation psychologique. On en conclut que le natif a su dépasser un sentiment de manque personnel, pour parvenir à une réussite indéniable. Pour les personnes qui ont des aspects « positifs » de Jupiter, dans leur thème, on évoquera une réussite liée à une excellente confiance en soi, sans chercher à approfondir sur quelle base celle-ci se fonde …

Toutefois, les principes de Jupiter et Saturne fonctionnent toujours de concert en nous-même : l’expansion jupitérienne et la restriction saturnienne sont deux forces complémentaires. Nous ressentons intérieurement le sentiment d’être confiant et compétent, et nous ressentons également un sentiment de manque, d’incompétence ou d’impuissance. Il est tout à fait normal pour un être humain de ressentir ces deux sentiments.

Ces deux tendances sont dualisées, avec deux pôles opposés aux extrémités – ce phénomène est une constante dans notre monde de dualité, d’ailleurs. En tant qu’humains, nous nous identifions tour à tour à un pôle ou à un autre, en fonction de nos expériences. C’est un mode de pensée universel.

Selon le principe Jupiter, nous ressentons nos possibilités aussi loin que notre imagination les porte -nous sommes optimistes (voire naïfs, orgueilleux, irréalistes, etc.) Avec Saturne, nous percevons les limites de nos capacités, en raison du réel, des règles, des lois, ou de croyances limitantes.

Nos réalisations sont la manifestation d’un équilibre entre les deux dynamiques. Et contrairement à ce qu’on entend souvent, les deux tendances sont légitimes : il est légitime d’être confiant. Il est légitime de tenir compte de certaines lois.

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On peut dire -d’abord- que ceux qui réussissent, ce sont ceux qui font des expériences jugées remarquables, selon les critères d’une majorité de personnes dans une certaine société, à un moment donné. Autrement dit, la réussite est un jugement social subjectif.

Ensuite, les personnes qui réussissent ont pu développer une confiance suffisante pour réaliser un de leurs souhaits sans qu’intervienne une limitation qui invalide leur chance de succès.


Ainsi, les personnes qui atteignent une réussite personnelle, avec un aspect de Saturne dans leur thème, ont su travailler sur leur sentiment de manque et leur pessimisme naturels, pour réussir.

Les personnes qui aboutissent heureusement avec un aspect de Jupiter dans leur ciel de naissance ont davantage travaillé sur leur tendance à la facilité -leur manque de réalisme, leur confiance aveugle, leurs petites négligences, leur paresse. Elles sont également admirables car elles ont su se remettre en question pour évoluer.

Ce travail intérieur est facilité en cas de trigone et de sextile (de Saturne ou de Jupiter). Ce travail est plus ardu pour ceux qui ont dans leur thème un carré ou une opposition d’une de ces deux planètes ; en effet, ces aspects demandent davantage de remises en question, et celles-ci sont plus douloureuses. Ils n’interdisent cependant pas la réussite.

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Cet article rappelle que les « winners » et les « loosers » ne sont pas deux catégories séparées. Il s’agit plutôt de deux tendances présentes en nous-mêmes. Nous nous identifions à l’une ou à l’autre, en fonction des circonstances.

Pour parvenir à une réussite quelconque, il est nécessaire de développer des qualités associées à deux principes complémentaires, Jupiter et Saturne, en prenant conscience de nos tendances peu évolutives, et de les corriger. En trouvant l’équilibre entre les potentiels à explorer et le sens des limites, nous pouvons aboutir à de belles réalisations.

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Le sextile Jupiter-Saturne de 2023-2024 a permis de créer un équilibre raisonnable entre les deux énergies.

Le carré de 2024-2025 commence dès juillet août 2024. Il permettra de prendre conscience de certaines tensions entre ces deux principes.

Ensuite, forts des leçons assimilées précédemment, nous pourrons manifester une nouvelle harmonie entre eux, dès 2025-2026, pendant le trigone Jupiter-Saturne.

Anne L jesuisjecree.com

Faut-il « attirer » l’abondance ?

On parle souvent « d’attirer » l’abondance. Certes, un sentiment de manque ne favorise pas l’abondance dans notre vie. Toutefois, il semble erroné d’attirer l’abondance de l’extérieur de nous-même ; en effet, l’argent et les biens matériels ne sauraient combler le manque. Cet article fait appel au symbolisme de l’astrologie et à la pensée de grands maîtres spirituels, pour mieux comprendre la source de l’abondance. Ainsi, notre rapport à l’argent peut être clarifié …

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Le symbole de l’abondance en astrologie : un mythe spiritualisant

En astrologie, la planète qui symbolise l’abondance est Jupiter. Cette planète, en fonction de sa position dans notre thème natal, souligne toujours un secteur où règne une abondance … Zeus, l’équivalent de Jupiter dans la mythologie grecque, durant sa tendre enfance, est allaité par la chèvre Amalthée, tandis que des abeilles le nourrissent de miel. Des cornes d’Amalthée coule l’ambroisie, la nourriture des dieux qui rend immortel … Ce détail donne un sens spirituel au mythe, qui évoque une évolution intérieure.

Selon certaines versions, un jour, Amalthée casse accidentellement une de ses cornes, puis la ramasse et la remplit de fruits, de lait et de miel. Elle devient la corne d’abondance, qui symbolise une source inépuisable de bienfaits ; car elle ne se vide jamais.

La corne d’abondance est liée à différentes qualités, dont la prudence qui est donc à la racine de l’abondance.

En astrologie, il est possible de rapprocher la chèvre Amalthée du signe du Capricorne, qui peut représenter cette qualité de prudence -a priori contraire à l’abondance. Cependant, cette tendance à opposer abondance et retenue est une erreur. Les lecteurs pourront lire un article dont le sujet est proche de cette idée : « Equilibre confiance/responsabilité (Jupiter/Saturne) » en cliquant ICI.

Jan Brueghel,

L’abondance, un état indépendant du degré de richesse matérielle

Pour les maîtres spirituels, l’abondance et le manque d’abondance sont des états d’esprit.

Les maîtres expliquent que c’est la méditation qui peut nous placer dans l’abondance.

Ce qui crée le manque d’abondance, c’est l’état d’esprit mental.

Pour « attirer l’abondance », ou pour « vivre dans l’abondance », il faut cesser de créer une distance entre soi et l’abondance. Il est nécessaire de prendre conscience que l’abondance est un sentiment intérieur, et qu’elle est en nous-même. Nous ne pouvons pas la créer avec des biens de consommation ou avec de l’argent.

S’ils n’arrivent pas à ressentir le sentiment d’abondance, les pauvres ressentent la peur de manquer (d’argent), et les riches ressentent la peur de perdre (leur argent).

On sait pourtant qu’il existe des personnes qui ont peu d’argent et peu de confort, et qui sont parfaitement heureuses et sereines. Parfois, on découvre même que des personnes qui ne connaissent pas le confort moderne sont bien plus heureuses que celles qui « ont tout » (traduisez : qui ont une grande quantité d’objets matériels.)

L’argent peut provoquer des tensions intérieures, corrompre notre esprit et gâcher notre bien-être. Jean de la Fontaine a très bien expliqué cela dans sa fable « Le savetier et le financier », qui présente un modeste savetier vivant dans la joie, face à un financier toujours soucieux. Le savetier finit par rendre le trésor que le financier lui a donné pour pouvoir continuer à vivre heureux.

L’effort spirituel qui favorise l’abondance

Jiddu Krishnamurti explique que la pensée est le temps pendant lequel opère le mouvement (intérieur) entre ce qui est et ce qui devrait être. C’est la pensée qui crée le sentiment de manque.

La pensée est une division intérieure entre deux pôles. On peut la nommer également l’état d’esprit mental. On peut aussi dire que c’est l’ego qui crée cette division. Peu importent les mots employés ; le principe de division, en nous-même crée une perception d’être séparé des choses.

Pour cette raison, les maîtres spirituels ont préconisé d’arrêter la pensée, ou de dissoudre l’état d’esprit mental, en méditant. La méditation interrompt le flux de pensées, et nous permet d’être présent à nous-même. Ainsi, un état d’esprit sans division intérieure émerge. On peut comparer cet état à ce qu’on ressent pendant une promenade silencieuse dans la nature, par exemple.

Dans la vie, un certain confort est nécessaire ; et l’on peut chercher à gagner plus d’argent si on le souhaite, en s’intéressant aux secrets des personnes riches. Cependant, l’abondance ne pourra pas croître avec nos revenus, car elle est une qualité de l’esprit.

Omraam Mikhaël Aïvanhov, comme d’autres chrétiens, dit aussi qu’il faut donner pour s’enrichir : « Débarrassez-vous de cette déplorable habitude de prendre, toujours prendre… Faites des efforts pour penser à donner. Essayez au moins de regarder les autres avec amour, de leur sourire, d’arracher de votre cœur quelques particules bénéfiques pour les projeter vers eux. À ce moment-là, c’est vous qui allez vous sentir riches et heureux.
Les humains ont toujours peur de perdre quelque chose, de s’appauvrir, ils ne comprennent pas que c’est justement par cette attitude fermée qu’ils s’appauvrissent. Pour s’enrichir, il faut donner. Oui, en prenant on s’appauvrit, et en donnant on s’enrichit, parce qu’on déclenche en soi des forces inconnues qui somnolaient, qui stagnaient quelque part dans les profondeurs ; en voulant les projeter, elles commencent à circuler, à jaillir, et on se sent alors tellement enrichi qu’on est étonné, on se dit : « Mais comment cela se fait-il ? J’ai donné, j’ai donné, et je suis plus riche ? » Eh oui, c’est cela la nouvelle vie. »

En effet, nous avons tous ressenti cette sensation de libération intérieure et de bien-être quand nous faisons un pas pour nous ouvrir à quelqu’un avec qui nous étions en froid, par exemple.

Jiddu Krishnamurti ne dit pas autre chose : « Entre deux solutions, opte toujours pour la plus généreuse. »

L’abondance, c’est donc s’éveiller et cesser de prendre, pour se mettre à donner véritablement, sans calcul ni attente particulière.

Ce qui est intérieur ne peut pas être perdu

De plus, Omraam Mikhaël Aïvanhov explique qu’il n’est pas possible de perdre ce qui fait partie de nous …

« Vous ne pouvez pas perdre ce que vous possédez réellement ; vous ne pouvez perdre que ce qui ne vous appartient pas, c’est-à-dire ce qui ne fait pas encore partie de vous.
Un moment vous avez la foi et ensuite vous doutez… Un moment vous êtes dans la lumière et un moment après vous êtes dans l’obscurité… Un moment vous aimez et ensuite vous perdez votre amour… C’est que ni la foi, ni la lumière, ni l’amour ne vous appartiennent. Il faut que vous deveniez vous-même la foi, la lumière, l’amour. Comme Jésus qui disait : « Je suis la lumière du monde. » Il s’identifiait à la lumière. Il n’a pas dit que la lumière était en lui ou avec lui, mais qu’il était la lumière. Il y a dans cette formule toute une science à méditer. »

L’abondance est en nous, que l’on soit pauvre ou que l’on soit riche. Dans l’idéal, nos situations financières n’entament pas ce que nous sommes -la pauvreté et la richesse n’ont pas d’incidence sur ce que nous sommes à l’intérieur. Nous sommes complet, quoi qu’il arrive. C’est cet état que nous recherchons.

Anne L jesuisjecree.com

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Pour résoudre (vraiment) problèmes et blocages

Les problèmes de la vie courante peuvent paraître complexes et insolubles. Cet article d’astrologie évoque leur cause intérieure. Il explique comment nous dépassons ces situations labyrinthiques. En effet, des moments déclencheurs font démarrer un processus de transformation.

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Nous traversons des crises dans notre profession, des difficultés de couple, des problèmes familiaux, ou de voisinage, etc.

Chacun est confronté à des situations bloquées, à des routes barrées, à des portes verrouillées.

Ces situations sont d’autant plus pénibles que l’on ne comprend pas ce qui se passe. Pris au piège, nous nous sentons impuissant à résoudre nos problèmes.

Nous souhaitons sortir du marasme. Une question lancinante nous vient régulièrement en tête : comment faire ?

Nous ressentons de la douleur dans ce genre de situation; la douleur vient du fait que nous ne la comprenons pas.

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Pourquoi vivons-nous des problèmes et des blocages ?

Ces situations bloquées ont une explication.

D’une part, on reste dans l’impasse parce qu’on ressasse les mêmes pensées. Nos pensées influencent nos conditions de vie, alors les schémas de pensée répétés automatiquement, avec des croyances enracinées, génèrent la même réalité.

C’est mathématique. Nous ne remettons pas en question notre façon de penser, qui est comparable à un programme enregistré => rien ne change à l’extérieur.

D’autre part, on ne parvient pas à résoudre les problèmes, parce qu’on ne connaît pas notre propre monde intérieur et on ne l’accepte pas. Ce monde intérieur renferme, entre autres, des blessures du passé et des mécanismes de défense.

Enfin, on se sent piégé dans les problèmes, comme dans une toile d’araignée, parce qu’on est sous l’emprise de l’inconscient. Notre propre inconscient, qui est aux commandes, nous fait tourner en rond, sans nous laisser entrevoir la porte de sortie.

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Quand vient la révélation

A un moment, nous faisons l’expérience d’un événement déclencheur. Une lumière apparaît; nous avons une vision; une idée surgit.

Il s’agit d’une prise de conscience ; la lumière dissipe le voile de l’inconscient.

Elle est pour nous une révélation, et cette révélation est un point de bascule entre un état et un autre. La révélation ouvre la porte de sortie qui nous permet de nous transformer.

La révélation n’est pas une information que l’on saisit mentalement. En effet, une information comprise de façon intellectuelle n’a aucun impact profond sur nous.

Il s’agit d’un déclic plus décisif, une ouverture de conscience. Le filtre mental que notre ego applique généralement sur la réalité a été comme fissuré.

Nous avons alors le sentiment de comprendre le sens ou la finalité de ce que nous vivons. Nous apprenons une vérité sur nous-même, sur notre vie, sur la situation. Nous comprenons mieux certaines lois de l’univers, certains principes qui régissent la vie …

Quel qu’il soit, ce déclencheur ouvre une porte de sortie, et nous libère des programmations. Il est le catalyseur de transformations, car seuls les éléments dont nous sommes conscient peuvent être changés. Sans conscience, aucune libération n’est possible, aucun déblocage n’a lieu.

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Comment favoriser la révélation ?

Sur le plan astrologique, la planète en correspondance avec les prises de conscience est principalement Uranus. Le Soleil, également, symbolise la dissipation de l’inconscient. Les transits de ces deux planètes en particulier favorisent le déclic.

Ce déclencheur est un signe, une discussion, une lecture, une découverte, un événement, peu importe …

Il survient quand on lâche prise, quand on pense à autre chose, quand on fait une promenade dans la nature, par exemple.

On peut aussi demander une prise de conscience, la programmer. Une demande formulée mentalement, par exemple le soir au coucher, après une petite méditation, peut déclencher une réponse. On peut la formuler plusieurs fois, et surtout apprendre à observer les signes qui viendront ensuite.

On peut vivre une prise de conscience en consultant un astrologue, un voyant, un thérapeute.

Le symbolisme astrologique, qui permet de comprendre le sens d’un transit ou d’une situation, est propice à la prise de conscience.

L’astrologie est également un support de connaissance de soi et de son monde intérieur – cela est valable, si on ne la réduit pas à un savoir intellectuel.

Anne L jesuisjecree.com

Aller vers l’inconnu et cueillir les opportunités

Peur de l’inconnu, peur de prendre des risques, peur d’échouer, autant de freins qui peuvent nous bloquer. Les souvenirs de guigne nous reviennent à l’esprit et nous retiennent. Cet article d’astrologie délivre des secrets d’initiés pour percevoir les opportunités et attirer la « chance ».

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Avoir la foi

On peut aller vers l’inconnu avec une certaine confiance. On peut être ouvert à la situation telle qu’elle se présente, dans sa globalité, même si sa nouveauté fait un peu peur. La situation, quoi qu’il en soit, nous mènera quelque part. Nous pouvons avoir la foi, être certain d’être guidé vers une certaine destination. Cette destination peut d’ailleurs être intérieure -ce peut être le fait de dépasser la peur.

En allant vers l’inconnu, on prend des risques, sans garantie de « réussite ». On ne peut pas non plus la prédire avec certitude. Aucune science exacte n’existe dans le domaine de l’humain. Nous devons d’ailleurs nous en réjouir…

Certes, nous pouvons échouer. Cependant, nous le savons, nous sommes tous amenés à vivre certaines expériences « désagréables », de temps à autres. En fait, celles-ci sont instructives, évolutives, si on les considère d’un point de vue plus global et spirituel. Pourquoi ne pas s’ouvrir à la compréhension de cette dimension de l’existence ?

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Définir ses objectifs et ses valeurs

Le lâcher prise devant l’inconnu ne signifie pas qu’on est dénué d’objectifs, ou de valeurs, et qu’on se laisse ballotter par le vent. Pour concrétiser des projets, il faut savoir ce que l’on veut. Cela implique d’avoir un but et de définir nos souhaits essentiels, reliés à ce que nous sommes.

Notre capacité à réaliser des objectifs dépend donc de la connaissance de nous-même. Si notre sens des valeurs et nos croyances sur nous-même sont erronés, ils agissent comme de véritables freins limitant la réalisation de nos souhaits. L’astrologie est idéale pour résoudre ce problème : elle est le support d’une véritable connaissance de soi.

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Percevoir l’opportunité dans l’inconnu

Aller vers l’inconnu est indispensable pour évoluer : les situations que l’on ne contrôle pas sont celles qui renferment les opportunités et les germes de la réussite.

Au contraire, des conditions d’existence que l’on contrôle bien, plus calmes et rassurantes, ne présenteront pas de nouvelles perspectives …

Les personnes chanceuses sont celles qui savent « voir le verre à moitié plein » dans ces situations nouvelles. Elles comprennent que les situations plus mystérieuses et inédites comportent des opportunités insoupçonnées, des graines de réussite et des possibilités d’innovation.

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Observer la loi des séries

Apprivoiser l’inconnu et obtenir le succès peut tenir à un simple détail, concernant notre comportement.

Ce détail fait toute la différence et il mène à la réussite.

Les personnes satisfaites quant à l’accomplissement de leurs buts sont celles qui ont compris que la « chance » et les opportunités arrivent selon une cadence, selon un rythme.

Tandis qu’un comportement inadéquat provoque de la malchance à répétition, une façon d’agir plus intuitive permet d’attirer des aubaines, et parfois un enchaînement de bonnes fortunes.

Pour preuve, il existe une loi des séries, que nous connaissons tous : on peut chercher à réaliser un objectif pendant des mois sans y parvenir. Au bout d’un certain temps, non seulement notre souhait se réalise, mais plusieurs opportunités « tombent » au même moment. Cela paraît complètement magique, et devrait éveiller l’attention des gens, les faire réfléchir …

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S’adapter aux rythmes de la manifestation

Les personnes qui semblent mieux traitées par la destinée
ont une attitude différente des autres. En fait, elles savent ressentir quand de bonnes occasions s’offrent à elles. Ces personnes n’agissent pas en force; ce sont des personnes sensibles, intuitives.

Les personnes « malchanceuses » ne comprennent pas pourquoi le sort s’acharne sur elles (apparemment). Quelle erreur commettent-elles, en réalité ? Elles ne tiennent pas compte des signaux que les événements leur envoient. Les choses ne se déroulent pas très bien; cependant, ces personnes continuent d’agir de la même façon, alors qu’elles devraient arrêter, faire une pause. Elles s’entêtent à agir quand la chance n’est pas au rendez-vous.

La chance, comme la malchance, dépend du moment où l’on agit. Tandis que le chanceux écoute sa voix intérieure, les malchanceux insistent, sans réaliser qu’ils créent leur malchance. Ils poursuivent leur activité sans voir les signaux, pourtant évidents, leur indiquant qu’il n’est pas opportun de continuer.

Un « couac », une malchance, doit nous faire lever le pied immédiatement et dire : « Je vois qu’il n’est pas temps de décider et d’agir actuellement. »

Au contraire, une circonstance heureuse doit être un signal, qui montre que c’est le bon moment pour tenter de réussir et de gagner dans un domaine quelconque.

Ainsi, la chance vient selon un rythme, une cadence, ou par vagues, sur lesquelles il faut apprendre à surfer.

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Prévoir les moments de chance et d’opportunité


Les périodes favorables sont liées aux cycles des planètes, étudiés en astrologie. L’univers entier est rythmé selon un tempo unique, dans le Ciel et sur la Terre. Tout se manifeste selon une synchronicité globale (les astrologues la connaissent).

Pour aborder l’inconnu et réussir dans ses projets, on peut apprendre à glisser sur les lames cosmiques, s’abstenir d’agir quand ce n’est pas le moment ou, au contraire, à poser des actes importants pour courir sa chance quand le climat ambiant nous y invite.

Evidemment, un travail préalable est souvent nécessaire avant les périodes fastes … Ces périodes de préparation peuvent également être mises en correspondance avec les rythmes cosmiques.

Les cycles planétaires présentent un avantage incroyable : ils indiquent les périodes fastes non seulement dans le présent, mais aussi pour le futur.

Ils permettent donc d’anticiper les périodes durant lesquelles nous sommes susceptibles de récolter les fruits de notre travail, et les périodes où il est bienvenu de les préparer …

Dans l’idéal, quand on se lance dans des projets (en tout domaine), il faut, dans un premier temps, se renseigner sur le climat astral général, sur une assez longue période. Les livrets de prévisions annuelles (vendus dans la boutique ICI) donnent ces indications générales sur le climat de l’année. Il ne s’agit pas d’astrologie populaire pour distraire le public, mais d’une description exacte des cycles planétaires. Tout est expliqué pour qu’une personne qui ne connaît pas l’astrologie puisse comprendre sans problème. Pour connaître le climat de façon plus précise, il existe aussi différentes études plus personnalisées, effectuées sur-mesure, que les personnes intéressées peuvent demander sur ce site.

Lorsque le climat général de l’année attire votre attention sur des périodes favorables, vous pouvez faire faire une recherche supplémentaire, pour préciser les périodes favorables à l’échelle de semaines, de jours (et même de moments). Ainsi, vous pouvez optimiser la chance, en agissant de manière à caler (le plus possible) vos actes sur les rythmes cosmiques, en correspondance avec les grandes vagues d’opportunités positives.

Anne L jesuisjecree.com

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Le Soleil et les plans subtils

Cet article d’astrologie propose de réfléchir aux liens subtils qu’entretiennent les êtres humains avec les planètes, notamment avec le Soleil.

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Le Soleil, dispensateur de vie

Le Soleil n’est pas la seule étoile ; la Voie lactée compte plus de cent millions d’étoiles de type spectral identique à « notre » Soleil. Les scientifiques relèvent que c’est donc une étoile « assez banale » au sein de la galaxie. En outre, l’humanité est vouée à dépasser son niveau de conscience axé sur le système solaire, pour accéder au « niveau de conscience galactique », selon la formule de Dane Rudhyar. Malgré ce relativisme, on peut encore dire que le Soleil, centre du système solaire, demeure la source de toute vie, dispensant lumière, chaleur, énergie :

« Le soleil symbolise la véritable essence de la vie. C’est la force irradiante qui donne la lumière et la vitalité à tout ce qui se trouve dans l’univers. Le soleil est la lumière de notre vie et le signe dans lequel il se trouve est la couleur spécifique de notre expression vitale. C’est l’essence même de notre (maintien en) vie, notre force, notre puissance et la richesse de notre être dans le moment présent.» (Le karma du présent, M. Schulman)

D’ailleurs, certains mystiques nous ont révélé que l’homme reçoit l’énergie du Soleil à travers un corps subtil …

L’astrologue Max Heindel (fondateur de la Rosicrucian Fellowship, l’Association Rosicrucienne) était en mesure de voir le corps humain avec la vision spirituelle. Il a expliqué * que le corps éthérique (qu’il nomme corps vital) capte l’énergie du Soleil et la transforme. Il explique que c’est cette force vitale qui donne vie à tous les organes du corps et qui les fait fonctionner.

D’une certaine façon, le corps éthérique (ou corps vital) anime le corps physique, qui n’est, sans sa contrepartie éthérique, qu’un amas de matière inerte. Heindel explique que le corps éthérique (ou vital) pénètre le corps physique de la naissance à la mort de tout être humain. Ce corps vital s’insère dans les atomes physiques et les fait vibrer à une fréquence supérieure.

Pendant le jour, le corps vital spécialise l’énergie du Soleil à l’aide de la rate. C’est cet organe qui transforme l’énergie du Soleil. Ainsi, cette énergie peut imprégner le corps entier à travers le corps éthérique. La rate est pour Heindel la « porte d’entrée » du corps éthérique (vital), faisant pénétrer l’énergie solaire en un courant continu dans notre corps.

Au fil de la journée, le fluide vital coule moins rapidement, la fatigue s’installe progressivement. Nous éprouvons le soir le besoin de dormir. (Lire à ce sujet l’article Le cycle du Soleil dans votre quotidien en cliquant ICI)

On pense généralement que le sommeil permet de dissiper la fatigue de la journée. Toutefois, ce n’est pas la version des spiritualistes, qui disent que, pendant la nuit, la conscience se retire du corps physique endormi (notamment avec les corps astral et mental). Le corps physique est régénéré en son absence, par le truchement du corps éthérique (vital).

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L’incarnation des âmes

Stephen Arroyo (Astrologie, karma et transformation) note que les Vedanta, livres de sagesse ancestraux, parlent de plans d’existence différents du plan matériel que nous connaissons, des plans subtils se situant entre le plan physique et le plan causal ( : le plan des causes, à l’origine de tout ce qui existe). Il est question des « Mondes du Soleil » et des « Mondes de la Lune », comportant eux-mêmes de nombreux sous-plans inclus à l’intérieur. On doit comprendre que le Soleil et la Lune, tels que nous les voyons et tels que nous les connaissons, sont en fait les projections matérielles de Mondes subtils, de plans de vie.

Les Veda et les Shastra, ouvrages dont l’origine est perdue aux confins des temps, disent que les âmes s’incarnent en descendant des régions astrales vers notre monde matériel « le long des rayons du Soleil et de la Lune ». Il semble, pour Arroyo, que les âmes s’orientant en fonction des positions de la Lune et du Soleil, passent alors de l’Unité des mondes divins, à notre monde, qui est celui de la dualité : notre monde est en effet structuré selon des polarités opposées (bien/mal, jour/nuit, mâle/femelle, etc.)

Max Heindel explique qu’au moment de la conception de l’enfant, au niveau subtil, son corps éthérique (ou vital) est logé dans le ventre maternel. Ce corps éthérique nourrit le corps physique tout au long de la vie grâce à l’énergie en provenance des plans du Soleil, comme nous l’avons vu précédemment. Le corps éthérique, à la conception de l’enfant, a un rôle comparable à celui d’un moule. Ce « moule » attire les éléments qui formeront le corps physique de l’individu à naître. En fait, le corps éthérique émet une certaine vibration, qui attire les éléments physiques correspondant à la tonalité de l’âme individuelle qui s’incarne. Cette vibration est au diapason de « l’atome-germe », qui est la mémoire de toutes les vies de l’âme. Les éléments du corps physiques sont donc en correspondance avec son niveau de conscience et avec son programme de vie, préparé avant son incarnation sur Terre.

(Lire à ce sujet les articles La vie de l’âme et les séjours planétaires en cliquant ICI, et La position des planètes dans notre thème natal est déterminée avant notre naissance en cliquant ICI)

Anne L jesuisjecree.com

* Santé et guérison, M. Heindel

L’incompatibilité relationnelle (comparaison Jean Reno-Tom Cruise)

L’astrologie permet d’évaluer toute relation, à travers une comparaison de thèmes -ou synastrie. En effet, on peut dire, pour les néophytes, que la position des planètes au moment de la naissance influencent nos rapports humains. Dans cet article, les points de friction entre les thèmes de naissance de Tom Cruise et Jean Reno sont répertoriés. Ils confirment une relation difficile entre les deux acteurs …

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Récemment, dans une émission de radio, Jean Reno s’est confié à l’animateur Naguy au sujet des stars d’Hollywood.

En effet, l’acteur du grand Bleu, de Léon et des Visiteurs connaît quelques légendes du cinéma américain, puisqu’il a participé à de grandes productions comme Mission impossible, Godzilla, French kiss

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Tom Cruise

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Il a notamment évoqué ses expériences décevantes et son manque d’affinité avec Tom Cruise. Ce n’est pas la première fois qu’il se confie sur cet acteur, dont il a jugé l’attitude « méprisante ».

La super star américaine est natif du Cancer, avec un Ascendant Vierge, deux signes qui démontrent une part de fragilité chez l’acteur de Top gun.

Le Soleil en Lion, joint à Pluton, dans le thème de Jean Reno, évoque un caractère plus affirmé, cherchant à rayonner et à détenir un pouvoir. A travers l’Ascendant Cancer, la part de sensibilité de l’acteur ressort également.

Jean Reno

Au vu de leurs thèmes, on ne s’étonne pas que les deux hommes aient connu quelques déboires relationnels.

On voit, par exemple, un premier interaspect très problématique ! Il s’agit d’un aspect réciproque, puisque le Soleil de chacun forme un carré avec Neptune dans le thème de l’autre. Il est très difficile pour ces deux personnes d’établir une relation de confiance, car chacun adopte des attitudes fuyantes, et se montre décevant envers l’autre. Cette relation réveille des souvenirs traumatisants, nichés dans le psychisme de chacun, qui leur inspirent plutôt l’envie de partir pour échapper à l’autorité de leur partenaire, ou pour ne pas subir ses attitudes égocentriques. En définitive, les deux personnes ont beaucoup de mal à rester en présence l’une de l’autre, car ces deux aspects mutuels agissent comme des répulsifs.

A cet égard, Jean Reno a évoqué à la télévision le mauvais souvenir (*) qu’il a gardé du tournage de Mission impossible, en raison d’un caprice de Tom Cruise : un jour, on avait demandé à Reno de venir expressément sur le lieu du tournage -il a fait un voyage de 6000 kilomètres. Cependant, après quelques essais, la star américaine a déclaré à Brian de Palma : « Non, on ne va pas tourner ça aujourd’hui » et il est simplement parti à 9 heures du matin, sans se soucier du déplacement de Jean Reno …

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La conjonction Soleil-Pluton en Lion, dans le thème de Jean Reno, qui peut évoquer une part d’orgueil, d’autoritarisme et un besoin de détenir un pouvoir sur autrui, entre en dissonance avec un carré Saturne-Neptune, présent dans le thème de Tom Cruise. Ce carré Saturne-Neptune évoque, chez l’acteur américain, une difficulté à vivre certains idéaux, à les manifester harmonieusement, à les concilier avec le réel. On peut mettre en correspondance cet aspect planétaire avec les liens de Tom Cruise avec l’Eglise de scientologie; et l’on peut supposer qu’il a un rapport particulier à la religion, par exemple. Cet aspect démontre une souffrance psychologique, et une difficulté à intégrer certains éléments inconscients.

Ces traits psychologiques chez les deux individus entrent en conflit : par le duo Soleil-Pluton, Jean Reno rayonne et recherche une reconnaissance avec une certaine radicalité, une intensité émotionnelle (et un peu de rancune si ce besoin de reconnaissance n’est pas satisfait). Toutefois, à travers Saturne, Tom Cruise refroidit sans ménagement le Lion trop ardent, mettant un terme à son besoin d’effusions et de reconnaissance. Ce fut notamment le cas un jour, quand Jean Reno a fait un cadeau à Tom Cruise. Jean Reno a raconté à Naguy que la star a dédaigné un présent qu’il avait choisi pour lui : « Ils nous a invités pour son anniversaire. Je lui ai offert toutes les éditions de Molière, une édition que j’ai trouvée qui était vraiment bien pour moi, à mes yeux.  » Il explique : « Il a regardé ça comme si c’était un paquet de chewing-gum. Il l’a filé à son adjoint derrière en deux secondes ». Pour lui, il a été « totalement méprisant » (**)

L’analyse astrologique des thèmes permet de montrer cette situation selon une autre perspective : Mercure, qui symbolise en astrologie les livres et la littérature, se situe dans le signe des Gémeaux dans le thème de Tom Cruise. Cette planète forme une opposition exacte avec Jupiter en Sagittaire dans le thème de Jean Reno ! Il n’est pas certain que le mépris soit seul à l’origine du manque de considération de Tom Cruise pour le cadeau de Jean Reno … En effet, avec le lien Mercure-Jupiter, un rapport élève-professeur est symbolisé ici, Tom Cruise apparaissant comme un étudiant superficiel aux yeux de son maître, tandis que celui-ci rappelle à Tom Cruise une autorité sévère … La biographie de l’acteur américain nous révèle qu’il est dyslexique et que, durant son enfance, il a suivi des cours adaptés, étant, précise-t-on, « illettré » (***). Ceci a été vécu douloureusement par l’enfant, on s’en doute. L’attitude de Tom Cruise devant les éditions de Molière peut donc prendre une signification très différente de ce qu’a perçu Jean Reno qui, lui, de son côté, attendait des remerciements et une validation sociale.

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La relation entre les deux acteurs a décidément un sens conflictuel… Un violent carré Mars-Uranus, dans le thème de Tom Cruise, aspecte Saturne dans le thème de Jean Reno. Ce point de discorde évoque le risque de relations négatives entre les deux personnes, parce que les affirmations personnelles, voire agressives, de Tom Cruise se heurtent à un censeur tout aussi impitoyable et dur, Saturne.

De même, Mars, dans le thème de Jean Reno, en carré du Soleil de Tom Cruise signifie que les deux ego entrent en conflit, car Jean Reno refuse, avec une certaine agressivité, de se plier aux exigences de la star américaine : la relation pourrait dégénérer en pugilat.

Entre Tom Cruise et Jean Reno, la relation est éminemment conflictuelle. Même si d’autres aspects moins négatifs sont présents dans la synastrie, les dissonances l’emportent largement et, de mon point de vue, ne permettent pas d’établir une relation équilibrée …

Pour confirmer, hélas, leur mésentente, on remarque que la Lune en Taureau du thème de Jean Reno forme un carré avec Vénus en Lion dans le thème de Tom Cruise. Ces planètes de polarité féminine ont un sens plus affectif : les valeurs familiales, maternelles et nourricières de Jean Reno entrent en conflit avec la façon dont Tom Cruise vit ses relations. Cet interaspect peut se manifester à travers des désaccords concernant les expériences des deux natifs avec les femmes.

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En conclusion, cet article est moins complet qu’une synastrie, mais il pointe les zones de friction entre deux individus. Celles-ci sont nombreuses, parfois assez violentes, et nous amènent à conclure que les coopérations entre Tom Cruise et Jean Reno sont à éviter. Toutefois, un réalisateur souhaitant travailler sur des énergies très conflictuelles pour les besoins d’un film peut éventuellement s’y frotter !

Même si l’on est porté généralement à vouloir améliorer les rapports humains en faisant des efforts, il faut prendre conscience que nous sommes en présence d’une relation dissonante, qui peut devenir épuisante pour les personnes concernées, chacun souhaitant s’en abstraire pour se sentir plus serein ! Le seul intérêt d’une relation conflictuelle est qu’elle pousse chacun à apprendre beaucoup de choses sur lui-même, par exemple grâce à l’astrologie.

Quand on ne comprend pas pourquoi une relation ne fonctionne pas, on a du mal à l’accepter, on veut forcer ou on se dit qu’en faisant des concessions, tout s’arrangera… 

Si vous souhaitez savoir si votre relation est viable, cher lecteur, commandez une étude relationnelle en astrologie. (page des consultations ici)

Vous découvrirez aussi les schémas psychologiques à l’oeuvre dans la relation, vous pourrez mieux vous connaître, et même travailler pour que la relation devienne plus évolutive.

Les gens rêvent tous d’avoir des relations harmonieuses, non ? Vous-même accordez beaucoup d’importance à vos rencontres et à vos échanges, n’est-ce pas ? Par conséquent, devenez conscient du formidable apport de l’astrologie dans la compréhension de vous-même et de vos liens avec les autres !

* www.parlons-basket.com

** www.programme-tv.net

*** Wikipedia

Anne L jesuisjecree.com

Equilibre confiance/responsabilité (Jupiter-Saturne)

Dans cet article, il ne sera pas question de « booster sa confiance en soi », un classique du développement personnel, mais de modérer sa confiance. En effet, en astrologie, certains astres invitent chacun à trouver une harmonie entre assurance personnelle et rigueur. De plus, la conjoncture actuelle (sur le plan astral) est propice à cet ajustement.

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« Prudence est mère de sureté. »

Jupiter et Saturne, deux principes complémentaires

Dans le domaine du développement personnel, on aide les individus à gagner en confiance, pour être heureux et réussir dans leurs projets.

Cependant, dans certains cas, la confiance en soi -si elle est exagérée- peut représenter un problème.

En effet, nous avons tous, un jour, péché par excès ou par manque de réalisme. Et nous avons tous constaté les mauvais résultats de nos présomptions. (Si les lecteurs n’ont pas souvenance de leurs bévues, ils ont à coup sûr vu des personnes de leur entourage pécher par manque de prévoyance 🙂 )

Dans le symbolisme astrologique, il y a une idée bien connue, qui dit qu’il est important, non de développer systématiquement sa confiance en soi, mais surtout de trouver le bon équilibre entre deux principes, Jupiter et Saturne. Jupiter représente la confiance, l’optimisme, l’expansion, tandis que Saturne est un principe de restriction -de sagesse et de prudence.

L’expansion jupitérienne correspond aux nombreuses possibilités que nous envisageons. Cette expansion est contrebalancée par un principe limitant, qui est Saturne.

Le langage astrologique est très instructif si l’on médite : il nous permet de découvrir que le principe de limitation saturnien est ce qui permet de concrétiser dans le réel les possibilités entrevues à travers Jupiter !

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« Les problèmes sont des opportunités en vêtements de travail . » (H. H. Kaiser)

Conseils pour … modérer sa confiance en soi

Certes, prôner la confiance en soi dans les articles de développement personnel, est nécessaire aux personnes timides. Elle réajuste aussi nos attitudes les plus pessimistes. La confiance en soi, liée à l’estime de soi, est pourvoyeuse de satisfaction et de bien-être. Elle génère de l’enthousiasme, indispensable pour vivre et réaliser ses objectifs. C’est le sens que prend en astrologie Jupiter, la planète de l’expansion.

Toutefois, ce principe astrologique, comme les autres, a un sens qui est double : il peut favoriser la réussite de ses objectifs, mais il peut également entraîner des échecs retentissants.

Sur jesuisjecree.com, les lecteurs ont été mis en garde depuis longtemps contre cette simplification, qui consiste à dire que Jupiter est « la planète de la chance ». Certes, Jupiter peut apporter des opportunités et des chances, mais, et cela est également une idée largement défendue sur jesuisjecree.com depuis bientôt 10 ans : nous sommes l’artisan de notre propre chance. Les planètes ont une signification, certes, mais notre comportement influence l’expression des principes planétaires dans notre vie.

Ainsi, Jupiter, principe de confiance en soi, de chance et de réussite, peut également correspondre à du laisser-aller, ou à un manque de réalisme. Dans ces cas « négatifs », lorsque le principe jupitérien est exprimé de façon faussé, il est générateur d’échecs.

En définitive, notre optimisme peut être exagéré, parce qu’il ne repose pas sur des bases solides. Le principe de réalité peut nous faire défaut. On peut donc s’illusionner sur soi, ou sur la faisabilité de ses objectifs. On peut aussi manquer de prévoyance ou d’organisation, qui sont des qualités saturniennes.

La confiance en soi ne se suffit pas à elle-même. Elle doit reposer par exemple sur de la modération, sur de l’humilité. Dans nos activités , elle s’appuie sur un savoir, sur du travail, sur de l’expérience (etc.) : il s’agit de données saturniennes, encore.


La confiance en soi jupitérienne peut même être associée à de la fierté, à de l’autosatisfaction, à de l’autoritarisme -des travers jupitériens. Ces attitudes suffisantes et inconséquentes peuvent donner de mauvais résultats, nous pousser à commettre des erreurs, et des abus dans les rapports avec les autres.

Enfin, dans un état de confiance en soi béate, on ne pense pas à faire des remises en question. Par conséquent, on ne peut pas évoluer.

Avec un peu moins de confiance en soi, on peut davantage voir ses propres défauts et se corriger soi-même. Dans les projets, on peut tenir compte de ses faiblesses, et faire des améliorations et des rectifications. Le principe Saturne est celui par lequel on fait preuve de cette sagesse et de cette réflexion. Le perfectionnement n’est possible que grâce à une autocritique, car une personne satisfaite et sure d’elle n’éprouve pas le besoin de changer. Elle progresse moins et peut stagner, voire échouer, que ce soit dans sa vie personnelle ou dans ses activités professionnelles.

La confiance en soi peut également aller de pair avec un manque de travail et de discipline. Le sentiment d’insatisfaction saturnien pousse à faire des efforts, à faire mieux, à corriger ce qui ne va pas.

Ainsi, un bon équilibre entre optimisme et esprit de restriction est le savant dosage qui permet de progresser au mieux dans sa vie. Il s’agit au fond de trouver le juste milieu entre esprit de facilité et acceptation des difficultés.

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« La chance aide parfois, le travail toujours. » (proverbe brahman)

Jupiter-Saturne : l’actualité du développement personnel dépend des astres !

Cet équilibre entre les principes Jupiter et Saturne est particulièrement intéressant en 2024.

En effet, ces deux astres, comme en 2023, seront en harmonie les six premiers mois de l’année. Ensuite, à partir de juillet, ils seront en dissonance. Nous travaillons donc sur cet équilibre Jupiter-Saturne depuis quelques mois, et pour tout le reste de l’année.

Dès juillet, la balance Jupiter-Saturne sera plus difficile à gérer, et ce sera le temps d’affronter les désaccords entre ces deux principes, et de passer à l’action pour notre évolution !

Anne L jesuisjecree.com

Connaissance de soi contre culpabilisation (et thème de Michèle Torr)

Le regard que l’on porte sur soi peut engendrer sentiment de culpabilité et blâme. Cette attitude de condamnation est pourtant dommageable. Cet article d’astrologie suggère quelles réponses nous pouvons apporter à nos propres erreurs. Il fait allusion aussi au vécu de la chanteuse Michèle Torr, qui illustre le sentiment de culpabilité. On pourra voir en quoi le thème natal met en perspective les événements de la vie de la native, et invite à entreprendre une démarche de connaissance de soi plus intime.

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L’introspection et l’auto-observation – nous les pratiquons tous à des degrés divers- permettent de faire des découvertes importantes sur soi.

On voit quels comportements on adopte par habitude. On perçoit certaines de nos motivations profondes. On décèle quels motifs nous ont amenés à commettre des erreurs. On découvre quels bénéfices secondaires nous font accepter des situations peut-être inacceptables (etc.)

Les transits des planètes, d’ailleurs, nous permettent d’effectuer cette observation et cette prise de conscience, pour évoluer.

La connaissance de soi est un apprentissage. On l’affine progressivement, à mesure que l’on se met à l’écoute de soi.

L’étude de notre thème de naissance, en astrologie, permet notamment d’approfondir cette compréhension de nous-même tout au long de notre vie.

L’écueil que la personne introspective doit éviter quand elle apprend à se connaître est le blâme et le sentiment de culpabilité.

En effet, on est porté à se blâmer quand on découvre ses propres automatismes et ses conditionnements, ou quand on comprend ses motivations, sa recherche de pouvoir, ses faiblesses, ses auto-sabotages, et qu’on constate ce qu’ils engendrent comme déboires, éventuellement. On peut ressentir un sentiment de culpabilité si l’on considère que l’on a nui à quelqu’un et si l’on se sent responsable d’événements qui ont eu des répercussions.

Toutefois, se faire des reproches à longueur de temps nous maintient dans un état d’immobilité ; et cette attitude d’auto-inculpation bloque tout progrès, tout changement.

En effet, l’auto-flagellation et le sentiment de culpabilité sont des rigidités qui nous empêchent d’évoluer. Les reproches incessants bloquent toute possibilité d’apprendre et de créer une autre réalité.

De plus, les comportements auto-accusateurs peuvent également être un prétexte de l’ego pour ne pas se remettre en question.

Par parenthèse, on peut ajouter : les reproches adressés non à nous-même, mais à autrui, ont les mêmes effets nocifs, sur nous-même et sur l’autre personne. Les rancoeurs sont des poisons que nous portons, et notre perception malveillante des autres bloque toute possibilité de modifier les relations que nous entretenons avec eux.

Si l’on a fait des erreurs, il vaut mieux s’inscrire dans une démarche d’évolution que de rester dans le statisme des jugements et des condamnations.

Face à nos propres attitudes inconscientes et à nos erreurs, nous pouvons développer une attitude bienveillante. Nous pouvons apprendre à nous manifester à nous-même de la compréhension, comme celle qu’on peut exprimer à un enfant ou à un ami cher.

Il s’agit de rechercher l’acceptation de soi, c’est-à-dire l’acceptation de notre imperfection.

Avec de l’entraînement et une plus grande ouverture sur le plan mental, on peut même dédramatiser et voir nos erreurs avec humour !

En effet, l’acceptation de notre imperfection est une forme d’humilité, car nous réalisons que nous ne sommes pas parfaits. En tant qu’êtres imparfaits, nous avons le droit de faire des erreurs, et nous pouvons voir les incartades des autres avec plus d’indulgence.

Certes, nous avons commis des erreurs, mais soyons sûrs que … ce n’est pas terminé : nous en commettrons d’autres dans le futur 🙂 !

Ce constat n’est pas laxiste. Nous ne sommes pas des êtres accomplis ni parfaits. Lors de notre incarnation sur Terre, nous venons faire des expériences, et apprendre sur ce plan physique, qui est marqué par la dualité. C’est donc un plan de vie où la perfection n’existe pas.

Devant le constat des faux-pas que nous avons accomplis, l’attitude constructive consiste à voir nos erreurs, à reconnaître que l’on n’a pas agi de façon appropriée, puis à décider de changer de comportement (ni plus, ni moins).

Nos errements constituent en fait un apprentissage. Il s’agit de tirer les leçons de nos expériences insatisfaisantes. On ne voit plus une faute commise, mais simplement une erreur, qui nous donne l’occasion de faire un pas en avant, en remettant en question vraiment un comportement ou des pensées.

Plutôt que de cultiver la réprobation pour les griefs que nous nous faisons, nous pouvons nous libérer d’une habitude peu évolutive, et ouvrir dans notre vie une nouvelle voie.

L’étude du thème, en astrologie, permet de connaître les schémas psychiques qui nous habitent. Ceux-ci modèlent notre comportement, et même les événements de notre vie. Ainsi, ce que nous considérons comme des erreurs ou des manquements, réside dans des schémas dont nous sommes responsables, qui demandent notre compréhension, et qui sont des apprentissages majeurs dans notre vie.

Selon l’approche spiritualiste, nous nous sommes incarnés pour faire ce travail.

Michèle Torr

La chanteuse Michèle Torr, originaire du Lubéron, a révélé dans la presse qu’elle ressentait un profond sentiment de culpabilité vis à vis de sa mère. En effet, alors que Michèle Torr remportait ses premiers succès, elle a appris un soir – le 28 décembre 1965-, où elle se produisait à l’Alcazar à Marseille, le décès de sa mère dans un accident de voiture, à l’âge de quarante ans.

C’est la chanteuse qui avait offert cette voiture quelques mois plus tôt à sa mère avec ses premiers cachets.

Sa mère, de condition modeste, était passionnée de chanson, et elle avait toujours rêvé d’être chanteuse. Elle avait inscrit sa fille très jeune à des concours et à des radio-crochets, et l’ambition s’était communiquée entre la mère et la fille. Ainsi, le décès de la mère adorée a donné à la chanteuse un sentiment amer, comme si elle avait réalisé le rêve de toute une vie de sa propre mère qui, elle, n’avait pas connu ni le succès ni la richesse, et était partie trop tôt …

On voit sur la carte du ciel de Michèle Torr une Lune, symbole de la mère, dans le signe du Scorpion, en maison V. Elle est en carré de Saturne et surtout de Pluton, tous deux situés en Lion.

La Lune en maison V confirme bien l’affection de la mère et de la fille. De plus, elle dénote une créativité artistique commune, le goût du spectacle, notamment, et elle fait référence à un fort besoin de reconnaissance.
Le signe du Scorpion, toutefois, est son lieu de chute. De plus, la Lune est en carré du maître du Scorpion, Pluton, et même d’un duo de planètes obscur, Saturne-Pluton. Dans le thème de Michèle Torr, la féminité et la maternité sont liées à des sentiments sombres, comme la culpabilité, par exemple. Le décès de la mère est évidemment symbolisé, également, par le Scorpion et les carrés, qui évoquent de grandes crises.

En outre, on remarque une conjonction Lune-Chiron, qui souligne l’existence d’une blessure, à laquelle la native doit se confronter au cours de sa vie. Cette conjonction montre que la blessure concerne le rapport à la mère; elle impacte aussi le vécu de la native en tant que mère.

Il est évident que la non-reconnaissance, par le chanteur Christophe, du fils que Michèle Torr et lui ont eu, et qu’elle a déplorée dans les médias au moment du décès du chanteur, est également à mettre en correspondance avec la blessure symbolisée par Chiron dans son thème, qui est liée à la maternité.

Ainsi, on peut conclure qu’une personne comme Michèle Torr pourrait dépasser les sentiments de culpabilité qu’elle nourrit contre elle-même, et ses récriminations contre autrui. Elle pourrait travailler avec un astrologue expérimenté sur la blessure symbolisée par la conjonction Lune-Chiron de son thème natal, en carré du duo Saturne-Pluton. Ce schéma très dissonant était déjà présent dans son thème astral à sa naissance. Les événements de sa vie sont venus appuyer sur cette blessure, pour qu’elle en prenne conscience et travaille à sa propre guérison.

Si vous aussi, vous souhaitez entreprendre une démarche de connaissance de soi et approfondir la compréhension de vos expériences, vous pouvez voir la page des consultations en cliquant ICI et me contacter : anne@jesuisjecree.com

Anne L jesuisjecree.com

Le choix que l’humanité doit faire (Capricorne et Verseau)

Depuis 2020 (jusque 2024 au moins), plusieurs faits astraux sont liés au symbolisme astrologique du Capricorne et du Verseau. Ils correspondent au climat « révolutionnaire » actuel, période de changement radical, les énergies en jeu étant colossales.

2020, l’année des trois conjonctions

Deux grandes conjonctions planétaires se sont effectuées en Capricorne en 2020, Saturne et Pluton, puis Jupiter et Pluton. La troisième ayant marqué cette année de transition majeure est la conjonction Jupiter-Saturne en Verseau. Elle initie une nouvelle période marquée par l’élément « air », après une époque régie par la « terre », depuis le XVIIIème siècle. Ces événements signifient que nous abordons un âge qui devrait être marquée par moins de matérialisme (terre). Elle a déjà été commentée sur ce site, par exemple ICI.

Le carré Saturne-Uranus

Au cours de l’année 2020, le carré Saturne-Uranus qui s’est formé est également une dissonance entre les maîtres du Capricorne et du Verseau. Cet aspect a insisté pendant trois ans (2020-2023) sur le conflit entre les valeurs saturniennes du Capricorne, d’une part, et celles d’Uranus et du Verseau, d’autre part. Ainsi, nous avons dû opter entre la poursuite de schémas anciens et l’ouverture à une inspiration libératrice qui se développe à présent. Nous avons également choisi de nouvelles bases, de nouveaux repères pour le futur.

Le choix, pour l’essentiel, n’est pas intellectuel, contrairement à ce que l’on croit généralement dans les mouvances spiritualistes. Il est intérieur, et s’effectue en vivant nos expériences, quand nous sommes vrais, sans fard et sans les masques de l’ego. Ces choix ont pour enjeu, soit de rester dans la peur, résister au changement, conserver ses habitudes, soit de dépasser ces limitations. L’astrologie offrait de merveilleuses clés pour vivre en conscience ce grand choix proposé lors de la dissonance Saturne-Uranus. J’ai eu plaisir à les partager lors des « coachings » téléphoniques qui ont été proposés sur ce site de 2020 à 2023. Je remercie les personnes qui se sont lancées et m’ont demandé une séance d’accompagnement ; je me souviens avoir fait de très belles rencontres 🙂

Pluton en Verseau et ses rétrogradations

Actuellement, Pluton aborde le Verseau après un long passage en Capricorne. Ce transit majeur renvoie également au XVIIIème siècle, la dernière période historique durant laquelle l’astre a traversé le signe du Verseau.

Bien que Pluton soit entré en Verseau le 23 mars 2023, il oscille entre le Verseau et le Capricorne pendant un an et demi, en raison du phénomène de rétrogradation. Son entrée ferme dans la constellation du « Porteur d’eau » ne s’effectuera qu’en novembre 2024.

Par conséquent, au cours de cette période de 18 mois, nous effectuons également des choix cruciaux, entre l’ancien et le nouveau, entre la tradition et la modernité, surtout entre le matériel et le spirituel. A la fin de l’année 2024, il y aura une part d’irrévocable. Pluton en Verseau déploiera à partir de cette date ses significations en fonction du degré de conscience de l’Humanité, et de l’état de conscience de chacun (individuellement) dans une certaine mesure également.

Sur le plan collectif, nos errements mentaux se manifestent par les mensonges politiques et les manipulations. La révolution est menée par « une élite néfaste ». Ces errements se manifestent aussi à travers les leurres de la révolution virtuelle, de l’intelligence artificielle et du transhumanisme présentés comme le progrès (comment ne pas accepter le progrès ?!)

Le virtuel singe le monde spirituel, poussant l’humanité dans les abimes du matérialisme, de l’électrification et des ondes nocives, tout en niant et en occultant les réalités subtiles (du Verseau).

Pourtant, de nombreux initiés disent depuis longtemps que l’Humanité, après une phase d’involution (qui a duré des milliers d’années), doit opérer un retour vers les mondes spirituels. Elle doit donc se dégager de la matière et affiner son niveau de conscience. C’est d’ailleurs la voie que prend la Terre elle-même, selon certains mouvements de pensée. La Terre serait en voie d’éthérisation, basculant dans un plan de manifestation plus subtil.

Le « métavers », monde virtuel et artificiel en 3D, devant lequel une partie de la population se pâme, est une illustration parfaite du leurre que l’Humanité se donne à elle-même (en s’accrochant à ses peurs). La fascination de l’individu pour la vie de son « avatar » dans les limbes du virtuel, mode de vie dont les effets affaiblissants pour le corps et l’esprit ne tarderont pas à apparaître, imite certaines réalités spirituelles sur l’incarnation de l’âme, tout en les niant.

Que dire du transhumanisme, vu comme l’aboutissement du progrès humain, à travers des hommes « augmentés » technologiquement, acquérant des « super pouvoirs » : infantilisme, … bêtise ?

En cette période très spéciale, le développement de la conscience (par la connaissance de soi), de l’amour et des valeurs humaines, l’ouverture à ses propres perceptions intuitives, aux énergies spirituelles qui inondent la Terre, aux plans subtils, deviennent un enjeu vital. De surcroît, cette façon d’être et de vivre peut contribuer à résorber des problèmes « modernes » : mal-être, violence, pollution de l’environnement, déséquilibres sociaux et économiques, etc.

L’oscillation de Pluton entre le Capricorne et le Verseau nous interroge aussi sur l’autorité et la hiérarchie : qui décide pour nous-même ? A quelle condition la hiérarchie est-elle légitime ? Les conditions du contrat sont-elles respectées de part et d’autre ?

L’oscillation de Pluton entre le Capricorne et le Verseau nous interroge sur la liberté : qu’est-ce qu’être libre ? Faut-il faire quelque chose ou est-ce un état ?

L’oscillation de Pluton entre le Capricorne et le Verseau nous interroge sur notre sens collectif. La participation sociale consiste-t-elle à se connecter aux médias ou à dépasser les préoccupations nombrilistes ? Comment manifester son intérêt pour les autres personnes de la société, et pour les générations suivantes ? Le Verseau nous offre la possibilité de développer la conscience d’appartenir à l’humanité, et de la manifester de façon bien vivante.

Si les médias déploient le programme de mise sous contrôle des peuples à travers un narratif centré sur les crises : le terrorisme, les guerres, les pandémies, les restrictions, l’effondrement économique, le désastre climatique, nous pouvons participer à un autre mouvement collectif en dépassant les peurs, le besoin de confort psychologique, le statisme des habitudes.

Notre choix (toujours en fonction des énergies astrales) consiste, soit à donner passivement notre énergie au monde matérialiste et liberticide, voire suicidaire, qui a été préparé et qui se met en place, soit à nous en dégager pour développer notre identité véritable, notre créativité personnelle et unique. Nous pouvons développer une façon de vivre plus conforme à ce que nous sommes, pour générer un autre équilibre collectif, ce qui peut d’ailleurs passer par la redécouverte de savoirs ancestraux oubliés.

On attend, par exemple, le sextile Saturne-Uranus de 2025-2026 pour voir comment les choix de l’Humanité se mettent en place.

crédit photos : Pixabay

Anne L jesuisjecree.com

Faites changer vos relations amoureuses

Relations amoureuses qui ne fonctionnent pas, solitude, problèmes de couple ? Dans ce domaine comme dans d’autres, les mêmes solutions aboutissent aux mêmes résultats, alors changez ! Faites un pas vers vous-même. L’astrologie vous permet d’envisager votre vie autrement, et de comprendre vos relations sentimentales, à condition de ne pas attendre passivement que les choses s’arrangent ou que les bons transits planétaires arrivent. Vous disposez du pouvoir du Soleil au creux de votre main, grâce à la connaissance de soi 🙂 .

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Le verrou dont souffre le solitaire est situé à l’intérieur de lui-même.

Le mot pour définir l’état d’esprit de nombreux célibataires vivant difficilement leur situation est : « résignation ». Cette résignation provient de leur incompréhension. Les solitaires ne savent pas pourquoi ils se retrouvent seuls, mais ils sentent que la porte d’accès à LA rencontre, et à d’autres cieux, est verrouillée. En général, ils ont fait de multiples essais pour rencontrer un (une) partenaire, sans succès. Ces personnes se sentent alors un peu différentes des autres, se disent confusément qu’elles ne font pas partie des élus (de Cupidon, de Vénus). Pour cette raison, elles renoncent à faire une rencontre et se ferment littéralement. Ce qu’elles ne comprennent pas, c’est que le noeud relationnel se situe à l’intérieur d’elles-mêmes, et que la solution est intérieure, également. Elle passe par la connaissance de soi.

L’incompréhension et la privation de sens ne sont pas une fatalité.

Dans certains cas, encore, l’incompréhension marque les relations. Les personnes ont fait des rencontres, mais n’ont pas compris pourquoi elles n’ont pas duré. Elles se sentent quittées sans raison, et sans communication. Ainsi, les comportements de leurs partenaires sont des énigmes ; et elles sont pour elles-mêmes des énigmes encore plus profondes, puisqu’elles n’imaginent pas un instant que TOUT, absolument TOUT, vient d’elles-mêmes … Un vide apparaît; et pour trouver du sens, le thème natal en astrologie est un support idéal à la connaissance de soi. On peut aussi apprendre à se définir (définir son identité), savoir ce qu’on veut, se respecter soi-même, pour mieux vivre ses relations… Dans certains cas, on peut aussi apprendre à accepter quand une personne ne souhaite pas poursuivre la relation, et qu’elle ne soit « pas faite pour nous ».

Les expériences négatives réactivent un schéma limitatif personnel.

Les personnes qui pensent ne plus pouvoir faire de rencontre ont une attitude de repli, parce qu’ils ont essuyé des refus, du rejet, de la part de leurs partenaires, par exemple. Ces expériences peuvent être révélatrices du traumatisme à l’origine de leur mal-être et de leur « échec » relationnel. Dans cette optique, il est probable qu’elles souffrent d’un manque de confiance en soi, et éventuellement d’une difficulté à accorder leur confiance. Leur célibat est une protection cachant de la peur. En astrologie psychologique, on peut voir sur le thème natal de ces personnes les schémas principaux qui structurent leur personnalité. Ainsi, les problématiques à l’origine des difficultés affectives ressortent et on peut apprendre à les dépasser.

Aborder sa vie et ses relations comme une « forêt de symboles »…

Les difficultés relationnelles existent aussi en couple. Les personnes cherchent à gérer la relation, sont souvent tentées de changer l’autre. En effet, elles voient bien ses défauts. Les consultations d’astrologie (sur jesuisjecree.com) peuvent permettre de faire mieux, en travaillant sur soi. En effet, l’autre est un révélateur, non la cause de nos soucis (nos blessures). Cela ne signifie pas qu’il est parfait, mais ce qui est intéressant, ce sont les éléments de synastrie (de comparaison des deux thèmes), qui permettent de voir les schémas à l’oeuvre dans la relation. Le thème personnel du consultant permet également de voir ses projections inconscientes. Dans un langage simple et clair, l’astrologue peut alors donner des conseils pour envisager le rapport à l’autre dans un sens plus symbolique, pour travailler à sa propre évolution et à son épanouissement. (En se transformant, la relation change aussi …)

Se poser les bonnes questions.

Quand on veut mieux comprendre ce qui va mal dans ses rencontres, sa vie de couple, on se demande : pourquoi est-il si distant ? Pourquoi ne s’intéresse-t-elle plus à moi ? Pourquoi les femmes sont-elles attirées par l’argent ? Pourquoi mon compagnon ne m’apporte-t-il pas l’attention et la tendresse que je désire ?

Cependant, il faut avant tout se demander :

1) Pourquoi ai-je attiré ce partenaire qui ne me convient pas ?

2) Pourquoi resté-je avec lui (elle), bien que notre relation ne m’apporte pas de satisfaction ? Qu’est-ce que cette situation frustrante m’apprend sur moi-même ? Ces questions évolutives feront faire des pas de géant.

En outre, on sait que, dans certains cas, une rupture est la solution la plus raisonnable pour pouvoir avancer dans sa vie …

Travail sur soi ET relation, de concert

Souvent, on pense qu’on pourra vivre une relation épanouissante une fois qu’on aura fait un travail sur soi et qu’on sera devenu … parfait, lisse et sans aspérités 🙂 . C’est d’ailleurs ce qui semble décourageant … Cependant, cette croyance est erronée. D’une part, il n’est pas certain qu’une relation saine soit lisse et toujours « harmonieuse »… D’autre part, la voie de la connaissance de soi peut être explorée tout en cherchant un partenaire ou en vivant en couple. L’idéal est de trouver le bon équilibre entre s’occuper de soi-même et rester ouvert aux autres, d’autant que la relation est le moyen de voir son reflet dans le miroir -qu’on ne voit pas si l’on reste seul. La démarche équilibrée est d’entreprendre un développement personnel, tout en partageant une relation avec quelqu’un.

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Anne L Jesuisjecree.com