Tandis que les restrictions s’ajoutent, en réponse à la circulation du virus, une exaspération grandit dans une partie de la population. Ainsi, le 1er février sera journée mondiale de désobéissance civile.
En effet, la vaccination, que les dirigeants voudraient rendre obligatoire, est basée sur une contrainte pour accéder à l’emploi, voyager, aller à l’école (etc.) Il est question çà et là de « passeports vaccinaux », ou de badges pour les « vaccinés ».
En outre, cette vaccination est une thérapie génique expérimentale, contenant des technologies qui « connectent » les corps humains pour transmettre des informations sur des serveurs – c’est le cas du « vaccin » de Moderna, selon un médecin américain. Ces « vaccins » visent à introduire l’humanité dans le transhumanisme.
Enfin, en France, le vote -il y a deux jours- de la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 31 décembre 2021 (!) signifie en réalité la confiscation de la démocratie par le gouvernement et le parti présidentiel. Aucun pays au monde actuellement ne fonctionne de cette façon ; c’est un énième coup d’état du Führer au pouvoir (et, à travers lui, de ses maîtres).
Comme le prédisait également l’article « Les mesures sanitaires, préfiguration des normes du futur ? », un mouvement de refus s’élève actuellement (janvier 2021) dans la population, en correspondance, dans le ciel, avec le carré d’Uranus à Jupiter et Saturne, alors que Mars le rejoint dans le signe du Taureau. On apprend dans les journaux internet que dans de nombreux pays, la population manifeste dans un climat d’émeute contre les mesures sanitaires -le confinement, le couvre-feu.
Le 1er février 2021, une journée mondiale de désobéissance civile a même été décrétée pour marquer le refus du port du masque obligatoire, pour la réouverture des bars et des restaurants, des lieux de culture, pour la liberté de circuler sans restriction et pour la fin de la distanciation sociale. Il s’agit donc de reprendre une vie normale.
Sur la carte de cette journée mondiale à midi, dressée pour la France, on voit une conjonction Vénus-Pluton au Milieu-du-ciel qui, effectivement, n’évoque pas la distanciation sociale, mais au contraire une grande proximité et une ferveur !
Le trigone de la Lune en maison VI parle sans doute des mesures sanitaires, à changer. Elle peut aussi faire référence aux contraintes économiques du peuple (on évoque un scénario à la grecque pour la France).
La conjonction Jupiter-Saturne est rejointe par le Soleil en maison X évoquant un pouvoir, un ordre, une hiérarchie, auxquels s’oppose un mouvement de révolte, symbolisé par le duo Mars-Uranus.
Mars ajoute une atmosphère militante et violente. On évoque des émeutes. La situation peut d’ailleurs dégénérer.
Sur la carte dressée pour la France, cette conjonction est en maison XII, secteur de tout ce qui est caché et secret, suggérant la désobéissance civile, et peut-être des actions violentes.
Par ailleurs, en France, puisque la maison XII est un lieu de retrait symbolique, la colère collective serait-elle « rentrée » ? En effet, la répression violente des Gilets jaunes qui ont eu des yeux crevés, des mains arrachées, peut refroidir les ardeurs de certains rebelles et des manifestants …
Mars représente aussi les forces de l’ordre. Y aurait-il une répression cachée, ou -pourquoi pas ?- des actions clandestines la part de services secrets ? Le déploiement de casseurs dans les manifestations, voulu et organisé par les autorités, est également un moyen efficace et courant pour discréditer les manifestations et faire oublier de justes revendications.
Quoi qu’il en soit, cette journée, dans le monde, risque d’être marquante, à l’instar de la période actuelle, marquée par une forte tension.
Cet article propose une enquête astrologique sur les circonstances de la mort de l’actrice Marie-France Pisier, pour répondre à la question : est-elle morte par accident ou par suicide, comme les autorités et les médias de l’époque ont problématisé la situation, ou bien une autre explication est-elle mise en relief par les symboles de l’astrologie ? En effet, la sortie du livre de Camille Kouchner soulève des réalités fort sombres. Pluton, symbole de corruption, mais aussi d’assainissement, par exhumation des secrets, est à l’oeuvre …
Comme je l’ai dit dans ma vidéo, des membres et des officines du monde politique vont tomber en 2021 … Pour le moment, le politologue Duhamel, et le Siècle, cercle d’influence élitiste, s’effondrent.
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Les révélations de Camille Kouchner dans son livre La Familia grande, au sujet de possibles abus sexuels commis par le politologue et constitutionnaliste George Duhamel sur son beau-fils, frère de Camille, ont également réactualisé les interrogations à propos du décès de l’actrice Marie-France Pisier, en 2011. Dans son livre, Camille Kouchner révèle en effet qu’Evelyne, la mère de la victime présumée d’abus sexuels, a eu connaissance des faits en 2008-2009, et a décidé de protéger son mari. Sa sœur Marie-France en avait été choquée, et l’avait incitée à divorcer, selon les tabloïds aujourd’hui. Camille Kouchner dit dans son livre que sa tante, Marie-France Pisier, s’est suicidée en raison de ce lourd secret.
Quand on revoit la présentation des circonstances de la mort de l’actrice Marie-France Pisier, à l’époque du drame, on est stupéfait par les conclusions de l’enquête. Sur Youtube, sous l’extrait de l’émission télévisée qui les présente, les commentaires évoquent de « l’hypocrisie », et « la pédophilie dans la haute société française » …
Il est vrai que les crimes, en général, ne concernent que les gens du peuple. Dans « l’élite », en politique, dans les affaires, chez les puissants, nul meurtre, nul crime sexuel. L’affaire Duhamel représente l’exception … Quelques informations glanées sur internet nous apprennent que Duhamel n’a pas été prévenu de la sortie de ce livre; il l’a apprise le 2 janvier. En effet, le secret a été gardé par deux journaux, l’Obs et le Monde, car ils sont dirigés par le compagnon de Camille Kouchner, Louis Dreyfus.(source : femmeactuelle.fr)
Avant de traiter de la mort de Marie-France Pisier, il est nécessaire de rappeler succinctement le milieu dans lequel les événements se produisent … Nous sommes en effet dans la haute société (de notre époque).
Marie-France Pisier, née à Da Lat au Vietnam, est la fille d’un haut fonctionnaire colonial. Sa sœur, Evelyne, était professeur des universités en sciences politiques, et son frère, polytechnicien, est un grand mathématicien, membre de l’Académie des Sciences.
L’actrice Marie-France Pisier a été l’épouse du célèbre avocat Georges Kiejman, puis la compagne de Thierry Funck-Brentano, filleul de Jean-Luc Lagardère. Il est directeur des ressources humaines et de la communication SCA Lagardère.
La sœur de Marie-France Pisier, Evelyne, qui est aujourd’hui décédée, a été la première épouse de l’illustre Bernard Kouchner, dont elle a eu deux enfants -l’auteur du livre, et son frère jumeau, la victime des abus. Elle a ensuite épousé Olivier Duhamel, politologue et membre du Siècle, un cercle élitiste à l’œuvre notamment dans tout ce qui entoure le mondialisme (et donc les évolutions imposées au peuple pour mettre en place ce « projet »). Duhamel est également le cousin germain de Thierry Funck-Brentano. Ainsi, les deux sœurs ont épousé les deux cousins.
Autre détail anecdotique, mais significatif d’un milieu social : Marie-France Pisier a sauvé Cohn-Bendit au cours de ses hauts faits, lors des événements de mai 68. Il était en effet sous le coup d’un arrêt d’expulsion par le ministère de l’intérieur de l’époque. Marie-France Pisier lui a teinté les cheveux en noir et l’a exfiltré vers le Luxembourg avec sa voiture … Elle a d’ailleurs été sa maîtresse à cette occasion.
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Etudions plus précisément la mort de Marie-France Pisier, et l’enquête qui a suivi.
C’est son compagnon Thierry Funck-Brentano qui dit l’avoir vue pour la dernière fois le soir du 23 avril 2011, à 23 heures, dans leur maison de Saint-Cyr sur Mer, alors qu’il allait dormir. A 3 heures 30, il se réveille et constate que, le lit étant resté intact, sa femme ne s’est pas couchée. Il la cherche dans la maison, puis sort à l’extérieur et découvre son corps au fond de la piscine. Les médias de l’époque ne posent qu’une question : accident ou suicide ? En effet, un narratif est fourni avec la question : Marie-France Pisier était atteinte d’un cancer du sein depuis de nombreuses années, et était peut-être dépressive. En outre, on évoque que ses parents se sont tous les deux suicidés, et sa mère était atteinte d’un cancer. C’est donc une sorte d’héritage psychologique et un héritage de destinée qui sont invoqués : dans cette famille, ON se suicide.
Pourtant, certains éléments ne sont guère cohérents avec la thèse du suicide ; en effet, les proches de Marie-France Pisier ne la ressentaient pas du tout suicidaire. Ensuite, elle a été retrouvée au fond de l’eau, portant des bottes en caoutchouc, et le corps « enchevêtré » dans une chaise en fer forgé ; c’est sa tête et ses épaules qui étaient encastrées. Par ailleurs, l’autopsie révèle que Marie-France Pisier n’est pas morte par noyade (en raison du peu d’eau dans ses poumons); Elle avait en outre ingéré de l’alcool et des antidépresseurs. Malgré ces éléments, les médias ne formulent que des hypothèses comme celle d’une crise cardiaque, suivie d’une chute dans la piscine, ou bien celle d’un malaise, suivi d’une chute, puis d’une hydrocution.
L’hypothèse d’un meurtre est probable aussi …
L’astrologie peut fournir des éléments supplémentaires, mais ne permet aucunement de dire qui est le coupable. Néanmoins, quelques hypothèses astrologiques peuvent certainement intéresser les lecteurs.
Sur le thème de la nuit du décès (la carte est dressée pour 1 heure du matin), on voit que les nœuds lunaires se situaient à 24° du Sagittaire et des Gémeaux. Le Noeud Nord plongeait dans la maison IV du thème de Marie-France Pisier, secteur associé à la fin de vie. Le nœud sud de la Lune transitait Saturne conjoint au Milieu-du-ciel, suggérant parfois un climat de fatalité dans la destinée. L’ensemble est en carré avec Neptune natal, maître de la maison VII, situé en I, ce qui suggère qu’il y a eu action d’une tierce personne sur la native. Cette influence d’autrui prend une coloration mystérieuse et secrète, évoquant une trahison. Le thème natal de l’actrice mettait en évidence un risque de subir les influences nocives d’autres personnes, ceci pesant sur son destin. Les Nœuds lunaires réactivaient cette thématique natale en 2011.
Par ailleurs, Saturne transite dans la maison I de la native, en opposition à de nombreuses planètes dans le ciel : une conjonction Vénus-Uranus, Mercure, Mars, Jupiter, qui transitent toutes la maison VII du thème de Marie-France Pisier. Cette maison est le secteur symbolisant autrui (et parfois même, il représente le conjoint). Enfin, face à Saturne, on voit aussi le Soleil en Taureau, qui est entré dans la maison VIII natale de l’actrice. C’est une conviction intime; ces données montrent clairement qu’une personne est intervenue dans la mort de Marie-France Pisier. En effet, cinq planètes sont situées dans le secteur de la relation à l’autre, de ce qui advient, mais que le natif n’a pas causé ! La maison VIII est le secteur des crises graves et en l’occurrence de la mort. Ma conviction, d’après ces données, est qu’il y a eu un meurtre.
Dans le thème natal de l’actrice, Mars maître de la maison VIII situé en X, en Cancer, montre une mort publique et assez violente. Le signe du Cancer peut évoquer le contexte : le foyer, et peut-être la famille. Mars est en sextile au Soleil en maison VIII, suggérant l’importance d’un homme. Le Soleil est maître de XII qui est comme la maison VIII, une maison en rapport avec du secret. Ce qui ressort beaucoup pour synthétiser la mort de Marie-France Pisier, en définitive, c’est un homme, et la notion de secret.
Dans la maison VIII natale de la comédienne, secteur de crise et de mort, se trouvaient une conjonction Vénus-Mercure et le Soleil. La conjonction Mercure-Vénus peut associer amour, sexualité et jeunesse. Cette conjonction est aussi une référence au frère et à la sœur, ainsi qu’aux sœurs et aux cousins, des rapports familiaux essentiels dans l’histoire de cette famille.
La maison VIII est justement un lieu qui renferme des sujets tabous ; les medias signalent aujourd’hui que les soeurs auraient été « partageuses »; et Marie-France Pisier aurait été la maîtresse de Kouchner (Les révélations pleuvent actuellement.).
Cette conjonction Mercure-Vénus est transitée, au moment de la mort de Marie-France Pisier, par Pluton en Capricorne, en aspect de trigone. Pluton est une planète en lien avec la sexualité, les secrets, les instincts, une destructivité, et parfois avec la mort. Il est en maison IV, secteur du foyer, de la famille (et de la fin de vie).
Une vérification s’impose : dans la Révolution solaire de l’année de la mort de Marie-France Pisier, Pluton, qui est donc en lien avec un secret de famille et une destructivité, est situé en maison VII, le secteur des autres, voire du conjoint, confirmant, de mon point de vue, un meurtre.
Sur la Révolution solaire, Pluton est conjoint au Noeud nord de la Lune, lui-même situé sur la cuspide de la maison VIII, le secteur des crises et de la mort. Ainsi, pour conclure : Pluton baigne dans un lieu du thème qui associe d’une part, le foyer, la famille, d’autre part, autrui, ainsi que les crises. Il signifie donc une crise grave, associant une autre personne, dans la famille.
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Pour conclure, les thèmes astraux révèlent de façon redondante une situation impliquant une autre personne, qui a été en relation avec Marie-France Pisier, et qui a un rôle important dans ces événements funestes. L’interprétation astrologique n’est pas une science exacte, mais ma conclusion est que la mort de Marie-France Pisier a été provoquée par une personne de sexe masculin (ou plusieurs), sans doute dans la sphère familiale (!)
Le choix (ou le non choix) d’une profession n’est jamais anodin. Il dépend de la « représentation de soi », mais aussi d’éléments inconscients, de l’enfance, du passé de nos ancêtres, de nécessités karmiques …
L’astrologie est d’une aide précieuse tout au long de notre cheminement professionnel.
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A la question « avez-vous choisi votre profession ? », certaines personnes répondront par la négative. Elles savent bien qu’elles se sont orientées un peu au hasard, parfois au terme d’un parcours scolaire compliqué. Cette situation est d’autant plus courante dans une société où l’on n’exerce pas toujours – et de moins en moins- un métier, au sens « noble » du terme mais où, plutôt, on se contente d’avoir un emploi, et parfois dans des conditions précaires. L’épanouissement au travail n’est pas toujours au rendez-vous, alors l’accomplissement professionnel, pourtant essentiel dans la vie d’un être humain et social, semble être un idéal lointain, hors de portée…
Pourtant, une orientation non choisie n’est jamais dénuée de sens, sur le plan psychologique, et elle demanderait de notre part un examen : laisser le hasard ou les circonstances choisir notre voie professionnelle, ne pas choisir en somme, c’est aussi un choix (voir à ce sujet l’article Esprit de décision, es-tu là ?)
D’ailleurs, on pourrait arguer que nous avons tous, à un moment ou un autre, l’opportunité de faire des choix et de décider de notre avenir …
Selon certains psychologues (comme Super, cité dans l’article « Choix professionnel et conception de soi », C. Gadbois, persee.fr), le choix professionnel s’effectue en fonction de « la représentation de soi ». Le moment où l’étudiant choisit son orientation est celui où, en tant qu’« l’individu », il « est appelé à affirmer de manière explicite la conception qu’il se fait de lui-même ». Il choisit en somme une identité professionnelle et un ensemble de rôles qui lui sont associés. Cette autodétermination s’effectue par la « confrontation aux modèles qu’offrent les professions entre lesquels il faut choisir ».
Tous les spécialistes ne sont pas de cet avis, cependant. Tout le monde ne choisit pas un métier ressemblant à la conception qu’il a de lui-même. Ce serait le cas uniquement lorsque le métier a été choisi depuis longtemps, comme une vocation. Cette adéquation entre profession et conception de soi est liée à une propension à s’impliquer dans la profession exercée, au fait que l’on accorde une véritable signification au travail exercé, et l’on donne de l’importance à la vie professionnelle, en général. On le sait, chacun poursuit ses objectifs ; certaines personnes donnent la priorité, dans leur existence, à leur vie privée et familiale.
–« Pour devenir habile en quelque profession que ce soit,
il faut le concours de la nature, de l’étude et de l’exercice. » (Aristote)–
Selon certaines études, l’adéquation entre la représentation de soi et le métier choisi dépend d’une bonne estime de soi. En effet, les personnes ayant une faible estime de soi ne se sentent pas aptes à exercer le métier qui correspond à leurs besoins, et il est pour elles peu probable d’y arriver. En outre, elles subissent davantage des influences extérieures, qui les poussent à choisir un métier qui ne leur correspond pas. Sur le plan du symbolisme astrologique, l’état d’esprit de ces personnes est influencé par le principe Saturne. Selon certains chercheurs, également, l’estime de soi a une influence sur le niveau social de la profession qui est choisie.
Les étudiants qui ont une faible estime de soi sont très sensibles au regard des autres, alors ils choisissent un métier qui leur permettra d’éviter de recevoir des critiques, d’éviter le contrôle et la compétition avec les autres. En général, ils ne pensent pas disposer des qualités pour exercer la profession choisie, et ils s’attendent à ne pas obtenir la satisfaction dans leur profession. En somme, ils s’attendent à ne pas faire le métier de leur choix. Ainsi, ils anticipent la frustration et programment de la vivre, ce qui est une conduite caractéristique d’un Saturne dégradé, dissonant. Parfois, pour ces étudiants à faible estime de soi, au contraire, la réussite est le moyen d’obtenir la considération des autres – ce qui renvoie à l’ambition saturnienne, compensatrice.
A l’inverse, les étudiants qui ont une bonne estime de soi considèrent que la profession qu’ils ont choisie satisfera leurs principaux besoins, ce qui est la foi typique du principe Jupiter, en astrologie.
Il faut noter que ces problématiques de représentation de soi, d’implication et d’estime de soi ne concernent pas uniquement les jeunes. Ce sont aussi celles qui guident ensuite tous les choix de l’adulte, sur son parcours professionnel. Sa conception de lui-même évolue, au cours de sa vie professionnelle, ce qui demande d’effectuer des ajustements constants ; il doit traverser des crises, changer d’emploi, se reconvertir, etc.
L’étude astrologique « Astro-orientation » (étude n°4), sur ce site, à la page desConsultations, permet d’élaborer la « représentation de soi », de définir ou de confirmer ses choix d’orientation.
Le coaching « Trouver sa voie », sur ce site, à la page desConsultations, s’adresse aux personnes confrontées à des difficultés d’orientation. Il traduit en langage symbolique les blocages professionnels, donne des clés pour comprendre le sens que de cette expérience de vie et l’évolution demandée. Il propose des pistes d’orientation pour favoriser l’accomplissement personnel au travail.
Pour répondre à la question « avez-vous choisi votre profession ? », il faut également tenir compte d’une autre donnée importante : le choix de la profession est également influencé par des données inconscientes. Il est le résultat d’une identification, durant l’enfance, à des images parentales, et notamment par des facteurs inconscients.
Les modèles influencent l’enfant selon le rapport qu’ils entretiennent avec le travail, et toutes les expériences faites durant l’enfance influencent les choix de vie ultérieurs, et notamment la profession.
Certains adultes confient à leur enfant le soin de concrétiser leurs propres ambitions non réalisés,par exemple. Le thème natal, en astrologie, peut porter les indices d’une telle situation.
Le vécu de l’enfance pousse en fait l’individu dans trois directions : à répéter certains comportements, à les rejeter, ou à effectuer une réparation.
Ce n’est pas tout. Les recherches en psycho-généalogie démontrent que l’histoire familiale, transgénérationnelle, influence aussi les choix professionnels.
En effet, nous sommes liés à nos ancêtres, même ceux dont ne connaissons pas l’histoire.
Le choix d’une profession peut reproduire la situation d’un ancêtre, s’y opposer, ou bien représenter une tentative de réparation symbolique. Par exemple, les métiers de la justice peuvent être liés à une injustice antérieure. Les professions dans lesquelles on mène l’enquête peuvent indiquer l’existence d’un secret de famille. Soigner dans sa profession doit nous amener à la question : pour réparer quelle blessure ? Un métier dans la banque, ou bien une grande importance accordée à l’argent gagné peut être lié au vécu d’un ancêtre ruiné, ou à des ancêtres qui ont connu un manque financier chronique, ou un manque affectif.
La recherche de la célébrité est associée au besoin de reconnaissance, lié par exemple à une blessure narcissique transmise dans la famille. Certains métiers en lien avec les enfants, l’éducation, comme professeurs, éducateurs, nourrice, peuvent être en rapport avec des abandons d’enfants dans la lignée.
En psycho-généalogie, il est nécessaire de prendre conscience de ces liens afin de rendre à l’ancêtre ce qui lui appartient, pour vivre sa propre vie.
Si l’on croit en la réincarnation, les choix professionnels peuvent aussi découler d’expériences vécues dans des vies antérieures. On évoque souvent les dons qui ont été développés dans des vies antérieures, et qui sont utilisés dans l’incarnation présente, notamment dans une profession.
De même, les situations traumatisantes peuvent donner lieu à des attitudes de fuite, comme certaines erreurs du passé peuvent conduire à rechercher réparation. Les karma professionnels et sociaux sont courants, et le thème astrologique personnel, comme les synastries (ou comparaisons de thèmes) révèlent parfois de tels liens entre deux collègues, ou bien entre un employeur et son employé, par exemple.
La vie professionnelle est essentielle et chargée de sens. Il est important d’exercer un métier dans lequel on sent que l’on peut s ‘épanouir et s’accomplir. Il faut savoir que nos choix professionnels dépendent d’influences de nature psychologique, plus ou moins problématiques, liées à l’enfance, aux influences transgénérationnelles et karmiques.