Cet article d’astrologie décrit le climat astral en 2025. En effet, l’année qui vient se présente comme une phase de transition entre le passé et l’avenir. (Découvrez les analyses originales de jesuisjecree.com)
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Il s’agira, pour nous, de clore les cycles d’existence précédents et d’amorcer notre vie future.
En numérologie, 2025, dans l’absolu, est une année marquée par le chiffre 9. Sur le plan personnel, un autre nombre peut présider à l’année de chacun, mais la signification universelle de 2025, à travers le chiffre 9, est celle d’une fin de cycle. Ce climat numérologique de fin des choses est en adéquation avec la configuration astrale.
Toutefois, on aurait tort de percevoir 2025 comme une année expirante et terne. Certes, elle correspond à un terminus (de plusieurs périodes / cycles, en astrologie), mais c’est une finale dense et animée !
En fait, 2025 est une année de transition marquée par trois tendances, qui vont être expliquées dans la suite de cet article, la continuité (1), l’afflux de détonateurs du futur (2), et un climat d’achèvement (3), qui peut tout à fait prendre la tournure d’un accomplissement (donc positif).
En 2025, les influences astrales sont très nombreuses ! Cet article ne peut pas toutes les présenter. Le climat de l’année, et toutes les énergies dont vous bénéficierez en 2025, sont dans les livrets de prévisions. Cliquez ICI pour les voir.
La continuité
D’une part, on constate que 2025 est dans la continuité de 2024, parce que pendant les deux tiers de l’année, le climat peu épanouissant de 2024, sur le plan social et professionnel, se prolonge. Cette conjoncture est liée au carré Jupiter-Saturne.
Les détonateurs du futur
D’autre part, une partie de l’année sera marquée par l’amorce d’une rupture radicale avec le passé, qui s’effectuera en 2026, puis au cours des années suivantes. Nous en subodorerons les prémices … En effet, l’année 2025 nous donne un avant-goût des énergies à venir, puisque trois poids lourds, Neptune, Saturne, Uranus, entrent dans de nouveaux signes du Zodiaque. En cela, 2025 semble indissociable de 2026, qu’elle prépare !
Le climat de 2025 est l’amorce de nouvelles situations qui se développeront au cours des années qui viennent. Ces nouvelles séquences, dans nos vies, ne semblent pas de tout repos… Le climat est au changement, à la révolution, dans les temps futurs.
La conjoncture de 2025 annonce ce tournant.
Un achèvement
Enfin, l’année 2025 constitue l’achèvement de cycles (et de situations), dont le commencement remonte assez loin dans le passé. Cet achèvement se déroule dans un climat harmonieux.
En effet, le dernier tiers de l’année sera marqué par une stabilisation sur le plan social et professionnel, qui sera constructive, en correspondance avec le trigone Jupiter-Saturne.
De plus, cette période sera dévolue à l’achèvement de grands cycles d’expérience, et cela pourra être vécu comme une heureuse conclusion pleine de sens. Les énergies planétaires colossales de Saturne, Neptune et Uranus en rétrogradation, se diffuseront pendant quelques mois. C’est ainsi que nous terminerons une étape de notre vie, avant aborder d’autres vécus, complètement nouveaux, et d’autres apprentissages …
Mercure sera rétrograde à partir de fin novembre 2024, dans le signe du Sagittaire. Ce mouvement de rétrogradation apparent, seulement du point de vue de la Terre, a lieu plusieurs fois par an. Il correspond à un renouvellement de l’énergie mercurienne.
La rétrogradation de la planète occasionne souvent des perturbations dans les domaines de Mercure, les communications, les échanges, les études, les déplacements, les transports.
Pourtant, le phénomène de rétrogradation est un flux planétaire qui a sa logique propre, et on peut aborder les événements en s’y adaptant. Pour approfondir ce sujet, découvrez le livret « Rétrogradation de Mercure et développement personnel », en cliquant ici (boutique sécurisée).
Voici les dates clés des mouvements de Mercure :
Première phase : Mercure, en marche directe, du début du mois de novembre jusqu’au 26, transite de 6° à 22° du Sagittaire.
=> Durant cette période, vous amorcez des communications, et vous observez de petites problématiques qui se posent à vous dans ce domaine.
Deuxième phase : Mercure rétrograde, du 26 novembre au 15 décembre, et passe de 22° à 6° du Sagittaire.
=> Cette seconde phase, avec ses ralentissements et ses petits empêchements, nécessite de revoir les communications du passé.
Troisième phase : Mercure reprend sa marche directe le 15 décembre et jusque début janvier, l’énergie mercurienne, renouvelée, se tourne de nouveau vers l’extérieur.
Quels sont les signes les plus concernés par cette rétrogradation ?
Cette rétrogradation concerne tout le monde.
De plus, toutes les positions planétaires (celle du
Soleil, entre autres) en Sagittaire, en Poissons, en Gémeaux et en
Vierge, sont particulièrement impactées par ce mouvement.
On remarque que cette rétrogradation est reliée au
carré Jupiter-Saturne, actuellement formé dans le ciel dans les
signes des Gémeaux et des Poissons. Nous réviserons certaines
communications qui ont été austères, et nous reverrons également
des échanges marqués par de l’exagération.
Ce transit est intéressant pour ceux qui
privilégient la compréhension sur une vision fataliste de
l’astrologie – jesuisjecree.com est LE site innovant et précurseur
de cette vision de l’astrologie sur le web, depuis bientôt 10 ans !
Précisons la signification de cette rétrogradation …
Cette rétrogradation concerne notre façon de
penser, notre point de vue sur les choses.
Elle est à mettre aussi en correspondance avec des démarches liées à des formes légales.I
De plus, Mercure est en relation avec d’autres planètes :
La rétrogradation débute par un carré approximatif Mercure-Neptune. Autour du 26novembre, nos communications s’enveloppent du brouillard neptunien qui favorise les quiproquo.
Autour du 4 décembre, l’opposition Mercure-Jupiter annonce des communications officielles en rapport avec une régularisation de situation, ou avec un rattrapage, dans le milieu professionnel, médical, social ou administratif.
Autour du 7 décembre, et avec le carré Mercure-Saturne, nous revoyons des échanges pessimistes du passé.
Ari Boulogne était-il le fils d’Alain Delon ? Toute sa vie, il a demandé à être reconnu par l’acteur qu’il pensait être son père biologique. L’astrologie n’élucide pas cette question, mais elle révèle la relation entre les deux hommes.
Cet article, non exhaustif, met en évidence les données astrales les plus remarquables dans la comparaison de thèmes. Elles parlent surtout d’Ari Boulogne dans sa relation à Delon…
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Ari Boulogne est né sous le nom Christian Aaron Päfgenn, peut-être à la suite d’une relation brève entre Alain Delon et Christa Päfgenn, dite Nico, mannequin et égérie d’Andy Warhol et du Velvet Underground dans les années 60-70.
Deux demandes de reconnaissance en paternité ont été entreprises, l’une par Nico, l’autre par Ari, mais elles ont rencontré des obstacles légaux. Nico avait d’ailleurs oublié de déclarer Ari au consulat d’Allemagne à Paris, au moment de sa naissance.
Lorsqu’elle est enceinte, elle informe son compagnon, le réalisateur de cinéma Nikos Papatakis, de la situation et celui-ci rompt avec elle. Aujourd’hui, toutefois, le débat autour de la paternité d’Alain Delon se poursuit, en raison des déclarations de son biographe, qui cite Nikos Papatakis, comme possible père d’Ari Boulogne.
Ari a eu une enfance particulière : d’abord élevé par sa grand-mère maternelle, il a été pris en charge ensuite par Edith, la mère d’Alain Delon, qui était persuadée qu’il était le fils d’Alain. Nico devait se consacrer à sa carrière, sur fond de consommation de drogues dures.
On sait, si l’on a suivi les événements fondateurs de la vie d’Alain Delon, que ses parents se sont séparés alors qu’il était très jeune, et que sa mère s’est remariée avec un charcutier de Bourg-la-Reine. Alain Delon lui-même a été placé dans une famille, ce qu’il a très mal vécu, se sentant abandonné. Le manque de son père, en particulier, a été intense. Il a passé ses jeunes années à Fresnes, développant un sentiment d’appartenance en côtoyant les occupants de la prison. C’est de cette façon qu’il a tissé une affinité durable avec les milieux du banditisme.
Edith Boulogne a éduqué Ari en vouant un culte à Alain Delon, faisant miroiter sa venue, un jour, pour le reconnaître … Toutefois, au moment de l’affaire Markovic, pour l’éloigner des photographes, soit disant, elle l’a placé dans un pensionnat catholique de Montfort-l’Amaury, où il est resté 9 ans (de l’âge de 6 à 15 ans) et où se pratiquaient les châtiments corporels.
Sur le plan inconscient, sa prise en charge du jeune Ari apparaît comme une compensation, une réparation de l’abandon (relatif) d’Alain durant son enfance. Par la suite, elle reproduit le comportement qu’elle a eu avec Alain quand il était petit, en éloignant Ari dans un pensionnat où il n’est pas heureux, pendant 9 ans, comme Alain a été envoyé à Fresnes. Ari explique d’ailleurs dans une interview d’Ardisson qu’elle confondait beaucoup les prénoms, appelant souvent Ari « Alain ».
Au cours de son enfance, Ari voit tout de même sa mère à certaines périodes, et joue dans des films.
Alors qu’il était en pension, la mère d’Ari le cherchait, mais Edith avait tendance à soustraire le garçon de son influence, et la dénigrait parfois devant l’enfant -aux dires de celui-ci. Sur le plan psychologique, ce rejet d’Edith à l’égard de la mère d’Ari, Nico, la « mauvaise mère », est manifestement une projection inconsciente de son propre sentiment de culpabilité, en tant que mère.
Nico est revenue vivre en France à partir de 1972 et elle est devenue la compagne du cinéaste Philippe Garrel. Cet homme a été une figure positive pour Ari, qui a d’ailleurs joué dans un de ses films.
Aux seize ans d’Ari, cependant, la mère de Delon et son mari, qui semblent vouloir protéger ou s’approprier Ari, l’adoptent et lui donnent leur nom. Ils lui font faire un apprentissage de cuisinier. A ce moment-là, Ari fugue pour retrouver sa mère.
Durant toutes ces années, Ari n’a eu presque aucun contact avec Alain Delon. D’ailleurs, Alain Delon s’était fâché durablement avec sa mère à cause d’Ari (mais aussi à cause d’un lointain contentieux qui datait de son enfance).
A la suite d’une rencontre fortuite, Delon a eu l’occasion de dire à Ari : « T’es mon pote, mais tu n’as pas mes cheveux, ni mes yeux ; tu ne seras jamais mon fils. » Dans l’interview d’Ardisson, Ari explique aussi qu’il a eu un seul contact avec le fils d’Alain Delon, Anthony, qui lui a raconté qu’étant plus petit, en visite chez ses grands-parents, il a joué avec une voiture à pédales, sans qu’on lui dise à qui elle appartenait. Ari Boulogne se décrit comme « l’enfant du placard ».
Dans le thème d’Ari Boulogne, le Lion ressort, puisque le Soleil et l’Ascendant se situent dans ce signe. Le signe du Lion donne de l’importance à la relation du natif avec le père, et à sa recherche d’une reconnaissance. Le Soleil, situé en maison XII, évoque cependant un enfermement, une exclusion, et une « épreuve » liée au père (selon la terminologie des anciens astrologues). Ces données correspondent à l’expérience vécue par Ari Boulogne, « l’enfant du placard ». On voit que le rapport d’Ari à son père est avant tout inconscient. Au cours de sa vie, son individualisation passait par une recherche intérieure, et par la compréhension de son inconscient -c’est le sens de la maison XII.
Le carré Soleil-Neptune suggère qu’Ari a beaucoup idéalisé la figure paternelle -on l’y a poussé, et cela a été d’autant plus facile que son père est une légende reconnue publiquement. Cependant, l’enfant a fait l’expérience d’une terrible déception.
D’après ces données astrales, Ari devait également, au cours de sa vie, accomplir une quête d’identité. Neptune, dans son thème, indique des racines brouillées et incertaines. Le problème rencontré avec Alain Delon n’explique pas à lui seul la nécessité de cette quête d’identité : Neptune parle aussi de son hérédité maternelle, par exemple de son grand-père opiomane, de sa mère également dépendante aux drogues dures et, sans doute, d’importants secrets de famille, comme la participation d’un des membres au régime d’Hitler, comme Ari en a fait état lui-même. On comprend que l’inconscient familial est puissant – ce qui explique par exemple les oublis et les complications liées à la déclaration de la naissance d’Ari.
L’opposition Soleil-Saturne est à mettre en correspondance aussi avec l’absence du père, qui a été vécue douloureusement. Sur la carte du ciel, on constate une superposition de cette opposition et des Noeuds lunaires, ce qui donne au manque paternel un sens karmique. Cela signifie que cette expérience est reliée au passé, aux générations précédentes, voire aux vies antérieures, si l’on admet l’idée de la réincarnation des âmes.
Comme cela a déjà été dit, l’astrologie n’est pas l’outil idéal pour déceler une paternité biologique. Par ailleurs, une preuve de paternité ne résout pas tout : un homme qui n’a jamais accepté l’idée de sa paternité ne change peut-être pas sa prise de position avec une preuve biologique.
Cependant, la synastrie (la comparaison des deux thèmes) d’Ari Boulogne et d’Alain Delon présente une curiosité : le Soleil d’Alain Delon se situe à la même place que Neptune dans le thème d’Ari, dans la maison IV. Le Soleil est le symbole paternel. Or, le Soleil d’Alain Delon se situe dans le secteur des origines, pour Ari. C’est évidemment troublant. On peut en conclure l’idée suivante : qu’Alain Delon ait été ou non le géniteur d’Ari Boulogne, il apparaît comme le père archétypique (le père « idéal ») dans le psychisme d’Ari Boulogne. Il incarne aussi le « problème père » d’Ari Boulogne. C’est tout ce que l’on peut assurer.
En effet, les Soleils des pères biologiques ne sont pas systématiquement dans la maison IV de leurs enfants ; ce serait simpliste. Généralement, il est assez rare que le Soleil du père tombe dans la maison IV de son enfant – car le Soleil peut se trouver dans les onze autres maisons astrologiques. En revanche, quand quelqu’un rencontre un individu dont le Soleil tombe dans la maison IV de son propre thème, les deux personnes partagent des expériences intimes et familiales, et la notion de « père » est au cœur de leur relation. La personne représentée par le Soleil peut même avoir des comportements paternels.
Un rapport parental entre Ari Boulogne et Alain Delon est donc signifié ici, mais ce rapport est psychologique, et pas forcément biologique. Alain Delon est donc une figure paternelle pour Ari ; il lui semble familier et ils partagent ensemble des préoccupations familiales, liées aux racines et à l’inconscient (en effet !)
Dans l’histoire d’Ari, on remarque que la paternité d’Alain Delon est exprimée uniquement dans le discours des proches -sa propre mère et la mère d’Alain Delon. Un lien fort a donc été créé entre Ari et Alain Delon, de cette manière, mais de façon unilatérale.
D’ailleurs, on peut remarquer que l’histoire que l’on connaît est inscrite sur le plan astrologique -en effet, dans la synastrie entre les deux personnes, le thème d’Alain Delon parle beaucoup moins que celui d’Ari. L’interaction entre les deux personnes semble déséquilibrée.
Par
ailleurs, le Soleil d’Alain Delon est également en carré du Soleil,
de Saturne (approximativement) et des Noeuds lunaires du thème
d’Ari.
Pour Alain Delon, Ari est un inconnu et il ne souhaite pas le connaître davantage. Les Soleils des deux hommes en aspect de carré montrent deux personnes qui se dérangent mutuellement, car leurs volontés sont en désaccord. Chacun désapprouve ce que l’autre est, ce qu’il prétend être, et ce qu’il recherche : Ari, avec le Soleil en Lion, a en lui un orgueil blessé, et il demande à être reconnu au grand jour. (Le Soleil en maison XII et les aspects dissonants au Soleil signifient que cela ne va pas de soi.) Au contraire, Alain Delon, à travers un Soleil en Scorpion, privilégie le secret et le mystère. Il ne veut pas qu’on parle de cette histoire dans les médias. Il considère qu’il n’a pas à se justifier auprès des autres et encore moins auprès du public. Il se comporte comme s’il détenait un savoir qu’il ne livre pas complètement. Ce comportement est aussi lié à la tendance du Scorpion à la manipulation. De plus, la situation stagne car deux signes fixes comme le Lion et le Scorpion restent sur leurs positions.
Sur le plan psychologique, Alain Delon perpétue lui aussi l’abandon qu’il a connu jeune, en refusant de reconnaître son fils (supposé). Certes, il a peut-être fait des recherches à ce sujet et a de bonnes raisons de penser qu’Ari n’est pas de lui. Cependant, s’il est certain de ne pas être son géniteur (ou s’il considère qu’il n’a pas de responsabilité envers lui), il ne lui donne pas d’explications claires. Ainsi, le flou neptunien demeure. Ce refus de parler clairement peut s’expliquer par du rejet, de l’hostilité. Il provient de toute façon de raisons situées dans l’inconscient. Ce silence fait durer, à la fois le lien entre les deux personnes et la situation sans issue.
En effet, la conjonction entre le Soleil d’Alain Delon et Neptune du thème d’Ari évoque la puissante projection inconsciente qui scelle leur relation : Ari est privé d’une partie de son histoire et de son identité, et il recherche (vainement) la reconnaissance d’un père. De son côté, la projection inconsciente d’Alain Delon est qu’il rejoue avec Ari sa propre problématique de recherche du père, qui n’est pas résolue. Alain et Ari souffrent en fait du même problème et réactivent ensemble leurs conflits intérieurs.
Dans la relation entre Ari et Delon, le carré approximatif de Saturne du thème d’Ari au Soleil d’Alain Delon démontre qu’Ari manifeste de la dureté envers Delon, au fond pour se défendre et se protéger. Les témoignages d’Ari ne font pas état de cette dureté, mais ces sentiments personnels peuvent être projetés sur Alain Delon qui les exprime face à Ari, en ayant une attitude sèche et fermée, (si l’on en croit le témoignage d’Ari). Sur le plan astrologique, cet aspect montre qu’au fond, Ari veut contrôler Alain Delon. Il voudrait (par exemple) l’empêcher d’agir selon sa propre volonté, d’être libre et de rayonner ; il peut éprouver une hostilité à l’égard de sa créativité, sa célébrité, ou de son pouvoir (sa richesse). Ce fond d’hostilité vient du fait qu’il ressent un manque personnel, et qu’il est moins à l’aise sur ces points.
L’ étude précise de cette partie de son thème permet de révéler une importante blessure narcissique d’Ari Boulogne. L’attitude fermée de Delon à son égard (et dont j’ai dit plus haut qu’elle fait durer le problème) est manifestement une projection inconsciente : Ari éprouve un sentiment d’insuffisance face à Delon. Cependant, c’est un sentiment qui le concerne, au fond (Delon n’y peut rien). On peut dire que Delon est pour lui une image idéalisée et inaccessible, tandis qu’Ari a une douloureuse conscience de ses propres manques. Si on se limite à parler de la vie d’Ari pour expliquer l’origine de ce problème, on peut dire que l’enfant qui n’a pas été reconnu, en a conclu qu’il n’était pas digne d’amour, qu’il n’était pas à la hauteur de ce père idéal.
Le carré Saturne-Neptune, qui est relié à son Soleil, correspond à la poursuite d’un idéal inaccessible, de manière irréductible. Globalement, ce carré est projeté inconsciemment : Ari exprime Neptune qui cherche une fusion parfaite avec son père idéal, pour être sauvé, et Delon joue Saturne qui reste dur et sans cœur. Ari veut que quelqu’un lui apporte ce qui lui manque ; ce quelqu’un est Delon, mais il ne veut pas de lui. Ce carré peut également être mis en correspondance avec la lutte d’Ari contre sa dépendance aux drogues -le processus est le même. Dans l’éducation d’Ari, le carré Saturne-Neptune peut également être mis en correspondance avec le contraste entre une famille ordinaire, les Boulogne, qui veulent faire de lui un gars stable, quitte à le reclure, et la vie d’artiste (passionnante et terriblement malsaine) de sa mère. Ainsi, pour schématiser, on peut dire que les Boulogne sont représentés par Saturne, et Nico est symbolisée par Neptune. Cependant, pour résoudre ce conflit, Ari devait faire un travail sur lui-même, de connaissance de soi, et d’acceptation de soi.
Il est évident qu’Alain Delon vit également une problématique proche, même si son thème ne comporte pas les mêmes aspects planétaires et s’exprime différemment.
Epilogue : Ari a pris le parti de sa mère. Celle-ci est décédée en 1988 d’un accident de vélo, alors qu’elle avait réussi à se libérer de la drogue et menait une vie saine. Ari, dans sa quête d’identité, a déclaré qu’il aurait souhaité, finalement, s’appeler Päffgen.
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Ari Boulogne, « l’enfant du placard », a été le point focal de l’inconscient de ses proches – dont la famille d’Alain Delon. Cependant, lui aussi a fait des projections inconscientes; on le voit avec Alain Delon, qui a été un mirage pour lui. Dans cette histoire, on peut constater que chacun des acteurs a joué son rôle, souvent en automate, en reproduisant des schémas du passé. (C’est évidemment plus facile à percevoir de l’extérieur et dans une étude astrologique.) Certes, la vie d’Ari Boulogne a été marquée par une recherche de paternité, qui est restée vaine, mais il s’agissait surtout pour lui de trouver sa propre identité -une quête plus essentielle pour lui. Le rapprochement d’Ari et d’Alain Delon montre qu’ils partageaient tous les deux la même problématique.
Chacun hérite d’un ensemble de conflits qui viennent du passé, et qu’il doit comprendre plus en profondeur. Les relations que l’on a dans la vie sont des occasions de mieux comprendre ces conflits – à condition de les analyser. En effet, ce qui est inconscient en nous-même, est manifesté par les autres (ce sont les projections inconscientes, dont je parle dans cet article). L’astrologie est un moyen de comprendre ses propres conflits intérieurs et ses relations.
Anne L jesuisjecree.com
Si vous ressentez le besoin de mieux vous comprendre, ou de mieux comprendre une relation, vous pouvez demander une étude astrologique. Je propose aussi des études d’astrologie psycho-généalogique. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à écrire à : anne@jesuisjecree.com. Consultez la page des consultations en cliquant ICI.
Cet article d’astrologie évoque le déboulonnement de la figure héroïque de l’Abbé Pierre. Il suggère une réflexion sur l’ingénierie médiatique à l’oeuvre actuellement pour infléchir la « pensée » collective et parvenir à certains objectifs …
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La nouvelle est tombée comme un couperet : l’Abbé Pierre est un monstre qui a commis des abus sexuels et des viols. Immédiatement, toutes les rues et toutes les places portant le nom de l’ancienne icône doivent être « débaptisées ». L’homme est mort ; il ne peut pas répondre, ni s’expliquer. Il n’est défendu par personne et les témoignages contre lui ne sont pas présentés au public qui doit croire sur parole ; aucun tribunal n’est organisé, sinon celui des médias.
Le but de cet article n’est pas d’exprimer un déni, mais simplement de constater comme on va vite en besogne !
Pour lire la suite de cet article d’Anne, cliquez sur le lien suivant (Blog Air du temps) :
Il n’est pas agréable d’attendre; et l’impatience prévaut dans une société consumériste. Découvrez, dans cet article d’astrologie, les significations des périodes de latence que nous expérimentons tous.
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On doit attendre, par exemple, une décision officielle, un nouveau travail, un logement ou un contrat, etc. Dans la vie, certains délais sont à prévoir avant d’obtenir ce qu’on souhaite, souvent pour des raisons pratiques. Cependant, on subit parfois une attente qui nous semble anormale.
« Plus on désire une chose, plus elle se fait attendre. » (proverbe français)
On attend parce qu’on est un individu à l’intérieur d’une société, et qu’on doit adapter ses exigences personnelles à une situation collective, impliquant des délais. En ce sens, l’attente est un fait que l’on doit accepter ; elle fait partie de l’éducation à la tolérance. A cet égard, l’attente contribue à réduire la propension de chacun à la dépendance psychologique ; et elle libère l’individu de ses tendances infantiles à la « toute-puissance ».
Au contraire, dans la société moderne, les gens ne veulent plus beaucoup attendre et revendiquent la satisfaction immédiate de leurs désirs -souvent matériels. C’est la société de consommation, qui favorise l’intolérance, l’infantilisme et la violence.
D’ailleurs, s’il y a tant d’attente, c’est souvent parce que les gens veulent la même chose en même temps. Ils sont animés des mêmes envies et succombent aux mêmes convoitises, mus par un effet de mode provoqué par la publicité. La personne, dans une telle société, garde un instinct grégaire, de « troupeau », et elle ne s’individualise pas réellement.
D’ailleurs, le comble est que faire la queue dans des files d’attente est devenu un métier à part entière aux Etats-Unis, pour obtenir des produits recherchés, comme des billets de concert ou le dernier smartphone. Il existe aussi une option « coupe-file » payante, dans certains aéroports ou certains musées (etc.) Le moins qu’on puisse dire est qu’il s’agit d’un service opportuniste et rentable pour lutter contre les temps d’attente ! Il peut aussi paraître immoral et cynique, voire absurde -si tout le monde choisit l’option « coupe-file », celle-ci perd son sens. Qu’on se rassure (ironie) : il s’agit d’un service qui repose avant tout sur l’inégalité entre ceux qui paient et ceux qui ne paient pas leur droit de passer devant les autres ! Dans une société à la dérive, de nouveaux services éclosent …
« Le véritable travail, c’est de savoir attendre. » (Jean Rostand)
Si l’attente est autant décriée, c’est parce qu’elle est considérée comme un moment de vide inutile.
En astrologie, certains phénomènes comme la rétrogradation des planètes, ou certains symboles comme Saturne, correspondent souvent à des phases d’attente. En effet, les rétrogradations remettent en question nos plans, et la planète Saturne ralentit le rythme des événements. On peut anticiper ces périodes, ce qui est bénéfique psychologiquement. De même, dans la société, le fait de prévenir les personnes qui doivent attendre de la durée de leur immobilisation favorise plus de sérénité ; il a été prouvé que cette information aide à mieux accepter l’attente.
De plus, si nous devons attendre plus que de raison une réponse, une décision, un feu vert, cette expérience languissante a assurément une signification. Elle peut correspondre à la nécessité, pour nous, de faire des prises de conscience. Il s’agit souvent de relier ce que nous vivons extérieurement à notre état intérieur, par exemple, une peur, un doute profond, etc. L’attente nous pousse à méditer, pour mieux comprendre le sens de notre vie et peut-être, nous recentrer, ce qui est positif.
L’attente est un temps de maturation. En effet, la satisfaction de nos désirs est différée, ce qui nous construit, nous rend plus patients, donc plus capables de faire des réalisations importantes et de créer -plutôt que de consommer passivement des produits.
En outre, l’attente parfois donne plus de valeur au résultat. Elle permet de construire notre vie sur des bases plus solides. Le temps d’attente devient alors un temps d’approfondissement qui nous renforce. Le temps qui passe peut donc être mis à profit pour réévaluer l’importance de ce que nous recherchons.
L’attente est parfois un momentde remise en question personnelle. D’ailleurs, cette période de latence peut être rattachée à la notion de karma, la loi de cause à effet, et elle peut nous donner l’occasion de mener une réflexion, par exemple sur des choix que nous avons faits dans le passé, qui étaient trop impulsifs, inconsidérés, imprévoyants, etc. Il s’agissait des excès jupitériens, par exemple, de Jupiter, le principe opposé à Saturne.
L’attente demande aussi de développer de la souplesse et un sens de l’adaptation aux circonstances. En effet, parfois, l’attente induit du doute quant à la satisfaction future de nos désirs. On n’est plus certain de recevoir ce qu’on convoite : il s’agit dans ce cas d’un apprentissage au détachement. Nos attentes nous rappellent que rien n’est acquis. Par ailleurs, comme nos attentes ont souvent comme présupposé une exigence, elles nous réapprennent l’humilité.
Quand on attend, on gère sa frustration, son amertume et parfois sa colère. On doit prendre en considération son impuissance -et on peut le faire tout en développant en même temps une forme de sérénité.
Souvent, dans ces situations, nous recontactons des blessures anciennes qui n’ont pas été guéries (des blessures personnelles et des blessures de notre arbre généalogique, voire de nos vies antérieures -si nous admettons la thèse de la réincarnation des âmes.) Nous revivons par exemple des mémoires de tristesse, d’absence, de peurs et de langueur.
Par ailleurs, l’attente implique un état d’esprit d’anticipation. Elle repose sur l’imagination et sur le désir. En cela, les sages d’Extrême-Orient nous rappellent que seul l’instant présent est réel ! L’attente est un état illusoire. On est donc invité à ne pas trop cultiver les émotions qui accompagnent l’attente en vivant trop dans l’imaginaire.
« A
qui sait attendre le temps ouvre ses portes. » proverbe chinois
Enfin, l’attente peut s’inscrire dans une fin de cycle : on attend parfois parce qu’on doit clore un chapitre de sa vie. L’attente donne la possibilité de faire ce travail plus en profondeur. Il s’agit d’effectuer un bilan de la période qui s’achève et des expériences que l’on a vécues (dans un emploi, dans un lieu, etc.) L’état d’impuissance, et l’obligation de ne pas agir tout de suite, incitent à se tourner vers l’intérieur, pour faire une introspection. L’attente en ce cas est une porte vers la connaissance de soi.
Mars
entre en rétrogradation au début du mois de décembre 2024 jusque
fin février 2025.
La rétrogradation a toutefois un impact plus étendu dans le temps. Il y a une préparation et une conclusion -ceci est valable dans le ciel et dans nos vies.
En ce qui concerne cette rétrogradation, c’est à partir de septembre/octobre 2024 jusque début mai 2025 qu’un important phénomène de remise en question se déclenche. Les événements ne se dérouleront pas comme prévu dans les activités et dans les thématiques citées dans cet article (voir un peu plus loin) !
Mars transite en Cancer et en Lion, et il occupera ces deux signes pendant 10 mois en tout !
Mars en Cancer parle d’activités qui se déploient en famille et au foyer -des travaux à la maison, par exemple. Mars en Lion évoque un dynamisme créatif et spectaculaire. Il parle du sport et des activités de loisir (entre autres).
Cette rétrogradation
peut également soulever des problématiques liées aux parents (le
père et la mère), et des problématiques dans les rapports entre
les hommes et les femmes.
Enfin, l’expression
de Mars en Lion et en Cancer est surtout affective : nous allons
agir en fonction de motifs sentimentaux. Il va de soi que la violence
propre à Mars est favorisée, puisque c’est l’émotivité qui
sous-tend l’action.
Durant presque dix mois, ces thématiques et ces tendances vont ressortir et il faudra rester très prudents. Il faudra développer une attention et une plus grande conscience -voir à ce sujet le livret numérique vendu en boutique « Mars rétrograde et travail sur soi » en cliquant ICI.
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Les phases de la rétrogradation
Il y aura trois grandes étapes à ce mouvement, de septembre/octobre 2024 à début mai 2025 :
– La première phase de septembre/octobre jusqu’au 6 décembre, va faire apparaître différents problèmes, en lien avec l’activité de Mars.
– La deuxième phase du 6 décembre 2024 au 24 février 2025, est la rétrogradation de Mars, durant laquelle il convient d’être réfléchi dans nos activités, et très prudent au sujet de nos impulsions égocentriques.
– La troisième phase du 24 février au 2 mai, correspond à une reprise de notre activité « normale », mais celle-ci s’effectuera sur de nouvelles bases.
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Les prévisions générales
Les principaux aspects de Mars (en dehors de l’essentielle opposition Soleil-Mars qui aura lieu le 16 janvier) sont ceux formés avec les planètes lentes comme Saturne, et les planètes trans-saturniennes, reliées dans un triangle mineur, Pluton-Neptune-Uranus. La rétrogradation est donc reliée à cette colossale formation de planètes.
En substance, les blocages qui vont avoir lieu pendant la rétrogradation concerneront des projets de transformation conclus avec des partenaires. Si l’on n’est pas concerné par ce genre de projet, cette rétrogradation occasionnera surtout des remises en question à travers des interactions avec d’autres personnes …
Si vous avez des projets, vous pouvez me commander une étude personnalisée sur la rétrogradation de Mars en fonction de votre thème natal, par courrier électronique. Cette étude permet de préciser davantage l’impact de la rétrogradation sur vous. Elle définit comment les événements risquent d’être influencés, et quels délais d’attente la rétrogradation risque d’impliquer pour la réalisation de votre projet. Cette étude astrologique peut vous indiquer comment vous êtes censé(e) changer au cours des mois qui viennent sur un plan évolutif … (pour vous réaligner avec votre « moi » essentiel.)
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Nous sommes tous confrontés à des problèmes que nous n’arrivons pas à résoudre, et qui durent. Ils se perpétuent pendant des mois, pendant des années, ou la vie entière. Ce sont des problèmes constants, opiniâtres et permanents, qui ne nous abandonnent pas 😉 . Ils sont fidèles.
Notre problème peut impacter n’importe quelle sphère de notre vie. Ce peut être un petit fardeau personnel qui nous rend la vie compliquée. On a aussi l’impression qu’il gâche notre existence, qu’on ne peut pas vraiment profiter des bons moments, avec ces chaînes !
Devant cet écueil dressé devant nous, et sur lequel on bute constamment (dans la profession, par exemple), on ne peut pas se réaliser ; et notre existence, à nos yeux, manque de sens.
Nos relations (familiales) nous empêchent d’être vraiment à l’aise, d’exprimer ce que nous sommes. Ou bien nos problèmes financiers nous privent de la sécurité et de la confiance dont nous voudrions profiter sereinement !
Certes, on peut apprécier l’instant présent malgré nos soucis. De nombreux articles sur ce site développent ce sujet. Dans celui-ci, il est question de faire face à notre problème pour lui trouver une solution bien concrète. (On prend le Taureau par les cornes !)
La question qui se pose donc est : pourquoi ne parvenons-nous pas à régler certains de nos problèmes ?
Cet article propose 3 clés pour comprendre ce qui rend nos problèmes chroniques, et comment débloquer la situation.
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Première clé : le découragement.
Nous avons effectué diverses tentatives pour résoudre notre problème (de manque d’argent, par exemple), mais nous n’y sommes pas parvenus : nous avons alors tiré des conclusions sur notre expérience, et nous avons émis des pensées négatives : « je ne suis pas doué(e) ! » « Je n’y arriverai jamais. » « A quoi bon essayer encore. » « Je me suis résigné(e). »
Ce sont ces explications, formulées après nos tentatives pour remédier à notre embarras, qui ont provoqué des sentiments négatifs, de la tristesse, de la démoralisation et de l’amertume.
De plus, ces idées sont à présent enregistrées et automatisées en nous-même. Elles agissent comme un programme bloquant – ce sont des croyances limitantes. Ces idées, ce sont les « prompts » de notre vie sous Intelligence Artificielle (les « prompts » sont les instructions données à une I-A générative pour obtenir un texte ou une image, par exemple.) Ces idées génèrent donc des limitations, dans le domaine financier, par exemple.
Les questions à se poser de toute urgence sont : avions-nous vraiment identifié notre problème ? Avions-nous choisi la bonne solution pour le résoudre ? Avons-nous essayé différentes solutions ? Pourquoi cela n’a-t-il pas fonctionné ?
Actuellement, notre plus grand blocage est ce découragement. Il est plus important que le problème que nous avions au départ ; il agit comme un virus informatique qui a été mis en place dans notre logiciel, par nous-même, et qui nous limite.
Pour travailler sur cette difficulté, il peut être nécessaire de faire le point sérieusement, probablement de faire appel à un professionnel, car on ne change pas un programme élaboré et maintenu pendant plusieurs années en quelques minutes (et encore moins en lisant des articles ou en regardant des vidéos sur internet, car il faut passer à l’action). On peut demander une consultation ou un accompagnement, afin de détricoter les croyances erronées, ce qui prend du temps et nécessite l’appui d’une personne extérieure.
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Deuxième clé : une mauvaise identification du problème
Nous n’arrivons pas à résoudre notre problème, parce que nous ne l’avons pas vraiment identifié. Nous n’utiliserons donc pas la bonne stratégie pour lui apporter une solution.
Si nous n’arrivons pas à identifier notre problème correctement, nous pouvons faire un travail pour identifier notre propre désir. Pour pouvoir faire cette recherche,il faut se baser sur les sentiments de frustration que l’on éprouve. Pendant quelques semaines ou quelques mois, on peut prendre des notes à chaque fois que l’on éprouve de la frustration. On note sur un carnet le jour, l’heure, le contexte. Par exemple, si l’on ressent de la frustration quand on est seul, ou si c’est lorsqu’on pense à sa famille que l’on se sent mal, ou si c’est aller au travail qui nous ronge (etc.), nous pouvons diagnostiquer le problème, formuler notre désir, et ensuite dire ce que nous souhaitons faire pour nous sentir plus en paix.
Cette méthode est également intéressante pour les personnes qui ne savent pas ce qu’elles veulent dans la vie ; elles peuvent apprendre à se connaître et à identifier leurs désirs en partant du sentiment de frustration qu’elles ressentent. (Ces personnes ont souvent été dirigées par de fortes personnalités durant leur enfance, et elles ignorent leurs propres envies. Voir à ce sujet l’article « Esprit de décision, es-tu là ? »)
Par ailleurs, nous pensons peut-être avoir des manques et des besoins, mais ceux-ci ne correspondent pas vraiment à la réalité. Par exemple, nous croyons peut-être avoir besoin de plus d’argent, ou bien nous pensons avoir besoin d’un partenaire dans votre vie pour atténuer certains sentiments de mal-être.
Dans le cas où le problème est mal identifié, il est nécessaire de nous appuyeruniquement sur les faits : si nous pensons avoir besoin d’argent , on peut prendre note de nos rentrées d’argent et de nos dépenses pendant au moins un mois, et nous pourrons (avec l’aide d’un professionnel) tirer les conclusions les plus exactes. Notre besoin réel est peut-être d’apprendre à mieux gérer nos finances, etc.
Si nous pensons guérir un mal-être en nous liant avec quelqu’un, on procède de la même façon, on s’appuie sur du factuel : on peut se remémorer nos relations passées, l’harmonie qui y régnait et notre état intérieur. On ne fixe pas notre mémoire uniquement sur les débuts de la relation, mais aussi sur la période qui a suivi. Même si chaque relation est différente, le climat des relations passées nous donne une idée de la relation que nous pouvons établir avec quelqu’un. En réalité, la présence d’un partenaire dans notre vie ne nous permettra pas forcément d’apaiser notre mal-être, si nous avons une relation difficile avec nous-même. Notre besoin réel est peut-être de développer davantage la connaissance de soi, pour pouvoir établir de meilleures relations avec une autre personne.
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Troisième clé : les bénéfices secondaires
Nous ne résolvons peut-être pas notre problème, parce que la situation dans laquelle nous nous trouvons nous apporte des bénéfices secondaires, et ces avantages dépassent la frustration que nous ressentons, aussi forte soit-elle.
C’est une certitude établie : si nous ne profitions pas de certains avantages dans cette situation, nous l’aurions déjà changée !
Cependant, pour bien comprendre cette idée de « gains » secondaires, il faut savoir que l’évaluation des bénéfices induits dans la situation est subjective. Elle est construite sur des croyances que nous avons sur nous-même, de longue date, sur des croyances que nous avons sur les autres, et sur des conditionnements que nous perpétuons comme un programme immuable.
=> L’être humain n’agit pas selon des critères objectifs et raisonnables, comme il le croit, mais il agit en fonction de ses schémas internes, dont la plupart sont enfouis au fond de son inconscient.
Ce sont ces programmes qui nous poussent à agir de façon inappropriée, et selon des critères inadéquats (enfin, cela dépend du point de vue auquel on se place !) Par exemple, nous restons avec notre partenaire alors que la relation est à bout de souffle, parce qu’elle nous permet de perpétuer un état de dépendance, comme avec un de nos parents durant notre enfance. Autre exemple : nous manquons d’argent parce que nous perpétuons un sentiment de pénurie et des peurs, que nous avons déjà bien connus dans le passé, et/ou que nos ancêtres familiaux ont connus dans les époques passées … Les « gains », dans ce cas, sont notre attachement à l’habitude, notre dépendance au connu, ou notre fidélité à notre famille.
Prendre
conscience de ces parts de soi-même oubliées ou méconnues est
essentiel. C’est pour cela que la connaissance de soi, le travail sur
soi et l’auto-observation, mis en perspective à l’aide du symbolisme
astrologique (interprété par un astrologue compétent) est une
démarche non seulement utile mais indispensable.
Les consultations d’astrologie et les accompagnements par téléphone ont cette fonction. Principalement, l’astrologie peut nous aider à développer plus de conscience, progressivement (nous sommes sur Terre pour faire ce travail, en tant qu’âmes).
A court terme, nous pouvons également travailler pour dépasser nos limitations et réaliser nos (véritables) objectifs, en nous permettant de nous développer et de nous épanouir. En consultation ou en accompagnement d’astrologie, on travaille à partir du problème que vous rencontrez actuellement, pour vous amener à le résoudre concrètement, tout en travaillant la connaissance de soi (tout est relié.)
Cet article d’astrologie décrit le climat astral pour la rentrée 2024. En septembre, nos échanges et nos communications redémarrent. Toutefois, le climat général est assez morose. En outre, des bouleversements sont possibles, en septembre et au-delà.
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Nos contacts connaissent un nouvel essor.
Une rétrogradation de Mercure a marqué l’été 2024. Au mois d’août, en particulier, nous avons refermé des chapitres en suspens, dans la communication : par exemple, on a effectué des démarches pour le travail, ou un examen médical, que l’on devait faire depuis longtemps et qu’on avait reportés. On a aussi revu nos échanges amoureux, repris nos créations, ou révisé nos sorties et nos divertissements -parfait, c’était justement les vacances !
Ces mises au point ayant été effectuées, c’est une dynamique de commencement qui marque nos communications au mois de septembre.
Le carré Mercure-Uranus du 7 septembre annonce un contact imprévu. (Ce contact a pourtant été répété, de la même façon qu’un comédien répète une scène, mais cela a peut-être été effectué inconsciemment !)
Le 12 septembre, le sextile Mercure-Mars associe la communication et l’action. Il annonce un déplacement, par exemple, ou une communication au sujet d’un ouvrage.
Ensuite, Mercure en opposition de Saturne et en carré de Jupiter, les 18 et 21 septembre, évoque des entraves dans la communication – Mercure prend connaissance de l’atmosphère ambiante, qui va prévaloir pendant un an (la nature de ce climat va être développée ensuite.)
Les 24 et 25 septembre, Mercure forme un trigone avec Uranus, une opposition avec Neptune, puis se positionne en trigone de Pluton. Ainsi, nos échanges gagnent en originalité et en liberté de ton (vers le 24). Nos contacts, qui sont pragmatiques, se heurtent à de l’irrationnel, ou aux forces de l’inconscient (vers le 25). Le 26, nous communiquons au sujet d’une transformation profonde.
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Un climat un peu gris et nuageux (profession, projets, etc.)
Le carré Jupiter-Saturne, qui s’est formé une première fois le 19 août dernier, est l’aspect planétaire qui donne le ton pendant un an. Il s’agit d’une influence dissonante, qui annonce davantage de difficultés qu’au cours des mois passés. Ce carré peut correspondre à un manque d’harmonie dans le travail, au ratage des objectifs, sur le plan professionnel ou dans d’autres contextes. Malgré ce climat, il nous faudra faire un choix, prendre une décision, et s’activer malgré tout.
La dissonance entre Jupiter et Saturne est avivée en septembre, en raison du transit du Soleil et de Mercure dans le signe de la Vierge : les barrières se dresseront plutôt dans le travail, la vie quotidienne et la santé.
Dans ce contexte un peu dur, Vénus en Balance formera un trigone avec Jupiter le 15 septembre : on pourra s’appuyer sur les associations, sur de bons partenariats.
Ensuite, Mars en trigone de Saturne à la fin du mois de septembre signifie que les bons principes seront de prendre des initiatives concrètes, et de construire sur le long terme.
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Des convulsions sont à envisager sur le plan collectif.
Le trio Pluton-Neptune-Uranus sera en rétrogradation. Neptune est en phase rétrograde depuis début juillet. Des faits plus frappants sont à noter concernant Uranus et Pluton.
En ce qui concerne Uranus, il sera en rétrogradation à partir du 1er septembre ! En septembre et au-delà, nous sommes appelés à réviser la façon dont nous concevons notre indépendance. Sur le plan des événements, quelques avaries sont à prévoir début septembre et au cours du mois, par exemple dans les transports. Attention notamment au carré Mercure-Uranus du 7 septembre qui peut, hélas, annoncer des difficultés. Au même moment, Mars transite en Gémeaux (signe mercurien), en sextile de Mercure et en carré de Neptune. L’ ensemble est inquiétant sur le plan collectif -ce type de configuration peut favoriser des événements difficiles, comme des accidents et des attentats.
Enfin, Pluton qui rétrograde depuis mai 2024, retourne en Capricorne à partir du 1er septembre également. Il va achever une longue période, qui a été dévolue à la remise en question de structures (ce transit en Capricorne s’est déroulé de 2008 à aujourd’hui). En effet, de nombreuses bases, personnelles, familiales ou collectives, ont fait l’objet d’un grand changement au cours de ce transit. Dès la rentrée de septembre, donc, nous clôturerons cette période de remise en question des fondements qui sont les nôtres, personnellement et collectivement. Nous ferons une dernière fois l’effort de transformer nos bases profondes, de creuser en nous-même pour faire ressortir l’essentiel de ces bases (au niveau individuel).
Le retour de Pluton en Capricorne est une période cruciale de moins de trois mois, durant laquelle nous vivrons la dernière expression de certaines structures, le dernier effort pour régénérer d’anciennes formes, et la fin d’un type de pouvoir. => Sur le plan collectif, en politique, des événements décisifs mettant fin aux états-nations tels que nous les connaissons (pour faire avancer le projet mondialiste-européiste), sont possibles. Un grand changement politique peut être envisagé au gouvernement français et même à la tête de l’Etat … Sous ce transit, on peut aussi envisager un tournant important, ou une forme de conclusion, à l’affaire de la disparition du petit Emile.
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En conclusion, à la rentrée de septembre, nous allons avoir de nouveaux contacts après la pause estivale. Le climat général suggère toutefois des difficultés dans nos vies, et sur le plan collectif (inflation, « pandémie », chômage, etc.). Toutefois, nous pourrons compter sur des points d’appui. Enfin, la rétrogradation d’Uranus nous pousse à réfléchir à notre quête d’indépendance. Pluton en Capricorne nous somme de clôturer seize années marquées par la transformation d’importantes structures.
Sur le plan des événements collectifs, on retient les possibilités suivantes :
-une crise soudaine vers le 7 septembre, dans les transports, au pire, un accident ou un attentat.
-des
transformations politiques importantes dans les trois mois qui
viennent, à la tête de l’état français et, sur un plan plus
global, concernant de grandes structures comme des institutions, des
administrations voire des états -en conformité avec le projet
mondialiste.
-un tournant important dans l’affaire de la disparition du petit Emile.
De l’automne 2024 à l’été 2025, un carré Jupiter-Neptune se forme. Ainsi, astralement parlant, les conditions sont réunies pour revivre une pandémie. D’autres données factuelles confirment cette possibilité ; la probabilité d’une nouvelle crise sanitaire est donc particulièrement forte.
Lire cet article d’Anne sur le blog Air du temps en cliquant ici.
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