Le climat astral et les circonstances (purement fortuites) évoquent de plus en plus la fin de l’argent liquide. Plus généralement, le contexte actuel suggère que nous entrons en 2020 dans une ère où règnent en maîtres la technologie et le « virtuel » …
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Dès 2017, un article sur ce site alertait sur la possibilité, à partir de 2018, de la fin de l’argent liquide et proposait une réflexion que les lecteurs pourront lire ou relire. En effet, l’entrée d’Uranus en Taureau promettait une révolution dans le secteur de l’argent. En 2020, Uranus transite toujours en Taureau et voici qu’un renfort de taille lui vient. En fin d’année, Jupiter et Saturne aborderont les rivages du Verseau et formeront une conjonction très influente dans ce signe. Cet ensemble de données produit un climat propice à une dématérialisation de la monnaie, qui peut s’effectuer de façon plus ou moins rapide, peut-être progressivement … D’ailleurs, la crise sanitaire n’a-t-elle pas stimulé les paiements par carte, sans contact, etc., au détriment de la monnaie sonnante et trébuchante ? La synchronicité est là aussi remarquable.
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Assurément, à partir de fin 2020, nous entrons dans une ère marquée par une avancée du « virtuel » dans différents domaines. Cette évolution technologique n’est certes pas la seule signification que pourraient avoir Uranus et le signe du Verseau, mais c’est le sens qui est privilégié par « l’élite », des GAFA (les géants d’internet) au monde de la finance et de la banque, en passant par les cercles d’influence …
La mise en place politique de dispositifs fondés sur l’intelligence artificielle, pour la santé et les transports, légiférée à l’échelle de l’U-E, s’est accélérée durant la période qui a précédé la crise du coronavirus. La santé et les transports sont justement les domaines qui sont impactés à la suite de cette crise. Belle synchronicité. De nouvelles mesures apparaissent à la faveur de l’épidémie : traçages en tous genres, usage de la reconnaissance faciale, dont parle l’article Saturne en Verseau, gouvernement mondial et intelligence artificielle. Et bientôt, le projet prévoit nanotechnologies injectées sous la peau grâce au vaccin, puis l’identifiant implanté sur chaque corps humain habité par une âme sur la planète.
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Des innovations technologiques – faisant toute la place à l’intelligence artificielle et au virtuel- vont se développer dans les décennies qui viennent, et seront problablement considérables. Cette révolution a notamment cours dans le domaine de la domotique. Ainsi, le « citoyen » du nouveau monde pourra jouir du modernisme et des délices de la société de consommation, avec sa maison connectée – connaître le contenu du frigo en consultant son smartphone, ou recevoir des alertes sur l’écoulement des stocks de nourriture synthétique pour pouvoir les réapprovisionner etc.
Ainsi, des milliards d’objets seront connectés à internet. Des villes entières se construisent actuellement sur la planète, selon ce modèle, entièrement « connectées ». Ces villes du futur sont les « villes intelligentes », ou smartcities.
Des articles de propagande font la promotion de ce matérialisme achevé, et présentent les villes qui suivent ce « progrès » comme les « villes les plus agréables à vivre », grâce à leur « connectivité » : « ces nouvelles technologies de l’information et de la communication se mettent directement au service du citoyen, de la mobilité et de l’environnement. » L’intelligence artificielle y régule les transports -d’où un progrès environnemental -dit-on, des « réseaux électriques intelligents », des voitures tout aussi intelligentes (et électriques).
Il s’agit aussi d’un « projet sociétal » pour un nouveau citoyen dans un nouveau monde, avec un mode de vie durable, et simplifié grâce à l’intelligence artificielle. (source : easyelectriclife.groupe.renault.com)
On ne parle pas de la radioactivité générée par les centrales nucléaires – ces bombes à retardement- qui produisent l’électricité, ni des ondes générées par les objets connectés, qui vont littéralement détruire les hommes et tout ce qui vit sur cette Terre -et l’on ne parle ici que des dégâts physiques !
Evidemment, « l’internet des objets », et les milliards d’objets connectés nécessitent l’infrastructure adaptée, sans commune mesure avec la 3G et la 4G -déjà dangereuses : la 5G fraîchement arrivée en France, sans débat, sans information plurielle, sans études sur ses effets sur le vivant a été installée en catimini pendant le confinement -on salue l’efficacité du gouvernement pour ce genre de mise en œuvre, en tout cas-, puis viendront les 6G, 7G, …1000 G ?
Que dégénérescence et maladies mortelles se développent, ce ne seront que des maux et des maladies dites « de civilisation », liées au « mode de vie », comme on l’entend souvent, mais l’on nous dira encore que : « la science n’a absolument pas prouvé l’existence d’un lien entre les ondes propagées par ces technologies (et autres choix délétères) et telle ou telle maladie ».
Ce n’est pas tout, le cauchemar se précise : comble de l’horreur, on comprend maintenant que l’installation récente de la 5G prépare le « puçage » de la population, la vaccination donnant lieu à l’injection d’implants qui seront manifestement reliés à la 5G. Ainsi, les êtres humains seront, comme les objets, « connectés » !
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En fait, en plus des dangers pour la santé humaine et pour le vivant, derrière chacune des innovations technologiques modernes mises à disposition du public, et souvent prisée par des personnes de toutes générations, se trouve au moins un piège, une restriction de sa liberté et de son autonomie, un moyen de contrôle ou de surveillance. Peu à peu, une immense prison virtuelle se construit -elle est construite, déjà- et elle pose un à un ses verrous autour de chaque être humain.
Le mythe du progrès est très ancrée chez l’être humain, dans le monde entier, dans le monde occidental, en France particulièrement depuis la révolution. Les esprits ont été formatés, préparés à ce qui est en train de se mettre en place. Rien n’existe au-delà du plan matériel, alors, seules sont estimables la science et la technologie.
Toute ouverture spirituelle, toute transcendance sont anéanties : on les remplace par le transhumanisme ! Ses chantres sont nombreux, et lui associent d’ailleurs des discours eugénistes … Les lecteurs apprécieront la bienveillance d’une élite qui, non seulement ne se soucie pas de la bonne santé de la population, mais dit ouvertement qu’elle veut l’exterminer et sélectionner les « éléments » qui lui conviennent.
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En réalité, le progrès n’existe pas ; certains philosophes le considèrent comme un mythe. Il n’existe que des choix. Le « progrès » est une notion cultivée par une élite pour faire accepter aux peuples ses propres choix, qu’elle leur impose.
Et ces choix sont mauvais parce qu’ils sont dépouvus d’amour. Non seulement les innovations ne sont pas effectuées avec une conscience centrée dans l’amour, mais elles sont concoctées dans une conscience sciemment dirigée vers l’avilissement, le mensonge, le mal.
Anne L jesuisjecree.com