Cet article propose quelques commentaires à propos de la crise sanitaire mondiale du coronavirus, des commentaires basés sur le symbolisme de l’astrologie, et sur le symbolisme des maladies ...
[Ne manquez pas de lire les investigations sans concession sur l’épidémie de Coronavirus en France.]
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Les débuts de la crise
En découvrant les transits planétaires sur la carte du Ciel de la Chine, on constate qu’en décembre 2019, Jupiter, qui débutait son transit dans le signe du Capricorne, a été successivement en carré avec le trio Soleil-Mercure-Neptune natal, en maison VIII, secteur des grandes crises.
Ce trio est situé au Noeud sud de la Lune sur la carte natale de la Chine, et Jupiter se positionne donc aussi au carré de l’axe du Dragon, donnant un sens « karmique » à l’événement.
Son effet a été puissant, puisqu’il a, à mon sens, marqué le déclenchement de la crise du coronavirus. En effet, Mercure et Neptune en maison VIII évoquent bien la possibilité d’une épidémie concernant une maladie respiratoire. Par ailleurs, antérieurement, la Chine a déjà connu une autre épidémie comparable à celle-ci, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), en 2003.
Une crise majeure et mondiale ?
L’impact économique, pour ce pays, est souligné dans le thème. La Chine, qui représente 20% du PIB mondial, produit un grand nombre de composants, de fournitures et de marchandises qu’elle exporte vers le monde entier. Dans le contexte de l’épidémie de coronavirus, la crise économique et d’approvisionnement se répercute, évidemment, sur les autres pays, et devient une crise mondiale. Un manque de diversification et d’autonomie, dans une économie mondialisée, engendre une vulnérabilité globale, une évidence qu’un enfant de cinq ans est en mesure de comprendre et de prévoir, comme ce fut souligné par exemple à l’occasion de la panne des cartes Visa.
La conjonction Saturne-Pluton du 12 janvier 2020 s’est effectuée dans le secteur XII, Saturne et Pluton transitant Jupiter natal. C’est à ce moment-là que le premier cas d’infection hors de Chine a été découvert, le 13 janvier. On peut donc constater que la crise sanitaire, sur le plan mondial, est associée à cette conjonction planétaire de mauvaise réputation… A priori, ces planètes ne sont pourtant pas précisément évocatrices d’une épidémie, et suggèrent plutôt une crise, une fin, une destruction : il semble donc bien que le coronavirus soit associé à l’effondrement qui pouvait être craint sous cette conjonction qui marque 2020. L’économie chinoise connaît en effet un sévère ralentissement, l’économie mondiale est en déroute, Wall Street est en chute … Relisez l’article sur la conjonction Saturne-Pluton ; c’est bien ce que je suggérais.
Le secteur XII, lieu des grandes conjonctions de 2020 dans le thème de la Chine, est appelé « l’hôpital du Zodiaque ». Il régit les maladies et suggère un isolement. En effet, dès la fin janvier, mesures de confinement et quarantaines, rapatriements de ressortissants étrangers, voyages à destination de la Chine déconseillés se multiplient. Aujourd’hui, on évoque « un pays à l’arrêt », et certaines villes chinoises sont devenues des « villes-fantômes ».
Cette crise renvoie la population du monde entier (et les décideurs) aux répercussions économiques et sanitaires de la mondialisation, du « libre-échangisme », de la « libre-circulation des personnes et des biens ».
Par ailleurs, même si le thème montre que l’épidémie est gérée avec sérieux par les autorités chinoises, on voit que le gouvernement semble garder secrets certains éléments concernant cette crise sanitaire. Des mensonges sont à craindre tout au long de cette année.
Les effets sur la mortalité parmi la population chinoise sont aussi soulignés, malheureusement …
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Une fin de cycle contraignante, karmique …
On voit, dans le thème de la Chine, que Jupiter achève son cycle. Symboliquement, cette étape impose à la Chine de ne plus prendre part aux activités extérieures. Cette épidémie représente d’ailleurs un des résultats de sa participation passée dans le monde collectif, et l’oblige à un retrait relatif, signifiant en fait le besoin d’un retour sur soi (impossible à imaginer sans cette crise), symbolisé par la maison XII en astrologie, pour développer temporairement une attitude moins active, et sans doute moins matérialiste, productiviste (donc, dans l’idéal, une attitude spirituelle. La Chine est justement dépositaire d’une tradition exceptionnelle …)
Le Noeud sud de la Lune en Balance et la conjonction de Neptune rappellent l’idéologie communiste, tout comme l’idéologie globaliste, très proche. Cependant, le nœud nord en Bélier, en maison II, suggère de construire, et de produire de la richesse, par le travail et un esprit de compétition. La Chine s’est en effet fort bien adaptée au modèle capitaliste-libéral -autre composante du globalisme-, jusqu’à devenir une grande puissance mondiale, briguer la place de leader du mondialisme économique, et déclarer poursuivre des objectifs de premier ordre pour « la gouvernance mondiale » (Bélier) …
Ceci place d’ailleurs ce pays en compétition avec les Etats-Unis (une remarque qui pourra laisser un espace aux lecteurs « complotistes » pour formuler une hypothèse, parmi bien d’autres qui sont possibles).
Le coronavirus semble en effet être un obstacle à cet objectif de « leadership ». Il manifeste quelque chose qui provient du nœud sud (et a priori de l’inconscient), en rapport avec un karma de communication, et en rapport avec une idéologie collectiviste, et un expansionnisme : ainsi, la Chine est le foyer à partir duquel se disperse dans le monde entier une épidémie (Neptune dissonant) du système respiratoire (Mercure dissonant). Cet aspect planétaire s’exprime également à travers le problème de la pollution en Chine, et des dégâts environnementaux majeurs, qui ont souvent été mis en évidence dans les médias.
La maison VIII au nœud sud suggère en effet une problématique de pouvoir, et des pulsions destructrices. Jupiter au carré des nœuds lunaires, en transit et dans le thème, montre en outre une difficulté, ou des irrégularités, dans l’expression du pouvoir social, suggérant tout autant dureté, domination (dans le Capricorne), que secret, pratiques peu loyales … La Chine reste une dictature, ne l’oublions pas.
La signification symbolique des maladies …
On peut appliquer à la crise mondiale du coronavirus les significations symboliques des maladies, en nous référant à l’ouvrage de Michel Odoul et au dictionnaire des malaises et maladies. La crise concerne plus précisément les maladies respiratoires, et la pneumonie -maladie très proche du coronavirus.
Cette maladie évoque, selon ces sources, « le vécu d’une agression extérieure ». La « capacité de se défendre s’effondre », et l’on se sent « sans défense » contre « l’agresseur, qui n’est pas toujours identifié ».
Ce type de maladie parle aussi de « la perte du territoire », de la « difficulté à trouver sa place » et « à gérer les relations avec le monde qui [nous] entoure ». Les maladies respiratoires indiquent en effet un « manque d’air », et rappellent « le droit d’avoir un territoire propre », « une place qui [nous] est personnelle et qui n’appartient à personne d’autre », « tout comme les autres ont chacun leur propre territoire. »
Ces problématiques rappellent celles de la mondialisation, et sont l’expression de l’inconscient collectif.
En ce qui concerne la Chine, Neptune en maison VIII évoque bien un flou en ce qui concerne le territoire de chacun, lié au domaine des affaires et de l’activité économique, la Chine ayant une politique expansionniste et hégémonique, des tendances associées à des principes astrologiques qui se manifestent à l’heure actuelle en crise sanitaire mondiale.
La lutte entre les éléments
Dans le thème astral de la Chine, les éléments dans lesquels se forme le carré qui marque le début de l’épidémie sont l’air (Noeud sud et planètes en Balance), et la terre (Capricorne). On peut relier cet aspect au « manque d’air » que ressent une personne atteinte d’une maladie respiratoire, suggérant une problématique de « territoire » personnel.
Ce conflit entre les éléments « air » et « terre » exprime symboliquement un principe cohérent avec la notion de territoire. Il exprime un accroissement, soit par une expansion territoriale, soit par ouverture.
Ce sont deux phénomènes inverses : la conquête, ou bien la libération.
L’épidémie mondiale qui progresse est donc la manifestation d’une expansion territoriale, d’une conquête. A priori, l’élément terre, dans son aspect « appropriation » domine l’élément air..
Le passage de Saturne, puis de Jupiter, dans le Verseau, qui est un signe d’air, manifeste une évolution progressive au cours de l’année 2020, et favorise une libération. L’épidémie ne devrait pas durer trop longtemps. De plus, à la fin de l’année, lorsque la conjonction Jupiter-Saturne s’effectuera sur la Lune natale (située en Verseau, en maison XII), la Chine prendra certainement une mesure importante pour donner une orientation au nouveau cycle jupitérien, et celle-ci devrait exprimer aussi une libération. Cependant, il s’agira d’une mesure imparfaite, ou prise dans un contexte conflictuel, car cette conjonction sera dissonante.
Anne L jesuisjecree.com