En France, on massacre dans l’indifférence générale des troupeaux sains, sous le prétexte d’une épidémie de dermatose nodulaire, une maladie qui ne provoque que peu de morts (chez les bovins) et qui ne se transmet pas à l’homme. On abat (de façon choquante) des troupeaux entiers, si une seule vache est atteinte de cette maladie, une « politique » que l’on n’avait jamais vue jusqu’à présent.
La semaine dernière, des abattages de masse ont été perpétrés dans le Doubs et en Ariège, conformément à une politique sanitaire supposée, sous l’autorité du Ministère de l’agriculture du gouvernement Macron. Une mobilisation rurale se développe pour contester ces procédés criminels. Le mouvement d’agriculteurs s’amplifie contre les abattages massifs de bêtes ; en effet, les agriculteurs des autres régions se mobilisent de plus en plus, voyant qu’ils n’échapperont pas au grand mouvement de massacre des bêtes et même de l’élevage, et de l’agriculture dans la France entière.
Les observateurs informés depuis des dizaines d’années du changement de société prévu de longue date savent qu’il s’agit simplement d’une destruction de l’élevage et de l’agriculture, au nom du projet mondialiste.
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