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3 clés pour débloquer un problème persistant

Nous sommes tous confrontés à des problèmes que nous n’arrivons pas à résoudre, et qui durent. Ils se perpétuent pendant des mois, pendant des années, ou la vie entière. Ce sont des problèmes constants, opiniâtres et permanents, qui ne nous abandonnent pas 😉 . Ils sont fidèles.


Notre problème peut impacter la sphère professionnelle, relationnelle, familiale, matérielle, ou financière (etc.). Ce peut être un petit fardeau personnel qui nous rend la vie compliquée. On a aussi l’impression qu’il gâche notre existence, qu’on ne peut pas vraiment profiter des bons moments, avec ces chaînes !

Devant cet écueil dressé devant nous, et sur lequel on bute constamment (dans la profession, par exemple), on ne peut pas se réaliser ; et notre existence, à nos yeux, manque de sens.

Nos relations (familiales) nous empêchent d’être vraiment à l’aise, d’exprimer ce que nous sommes. Ou bien nos problèmes financiers nous privent de la sécurité et de la confiance, dont nous aimerions tant profiter sereinement !

Certes, on peut profiter de l’instant présent malgré nos soucis. De nombreux articles sur ce site développent ce sujet. Cependant, dans celui-ci, il sera question de faire face à notre problème pour lui trouver une solution bien concrète. (On prend le Taureau par les cornes !)

La question qui se pose donc est : pourquoi ne parvenons-nous pas à régler certains de nos problèmes ?

Cet article propose 3 clés pour comprendre ce qui rend nos problèmes chroniques, et comment débloquer la situation.

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Première clé : le découragement.

Nous avons effectué diverses tentatives pour résoudre notre problème (de manque d’argent, par exemple), mais nous n’y sommes pas parvenus : nous avons alors tiré des conclusions sur notre expérience, et nous avons émis des pensées automatiques négatives : « je ne suis pas doué(e) ! » « Je n’y arriverai jamais. » « A quoi bon essayer encore. » « Je me suis résigné(e). »

Ce sont les explications que nous avons trouvées après nos tentatives pour remédier à notre embarras qui ont provoqué des sentiments négatifs, de la tristesse, de la démoralisation et de l’amertume.

De plus, maintenant, ces idées sont enregistrées et automatisées en nous-même. Elles agissent comme un petit programme bloquant – ce sont des croyances limitantes. Ces idées, ce sont les « prompts » de notre vie sous Intelligence Artificielle (les « prompts » sont les instructions données à une I-A générative pour obtenir un texte ou une image, par exemple.) Ces idées génèrent des limitations, dans le domaine financier par exemple.

Les questions à se poser de toute urgence (pour revenir à la vraie vie) sont : avions-nous vraiment identifié notre problème ? Avions-nous choisi la bonne solution pour le résoudre ? Avons-nous essayé différentes solutions ? Pourquoi cela n’a-t-il pas fonctionné ?

Notre plus grand problème, actuellement, est ce découragement. Il est plus important que le problème que nous avions au départ et (comme toujours) il est intérieur ; il s’agit d’un virus informatique qui a été mis en place dans notre logiciel, par nous-même, et qui nous bloque.

Pour travailler sur cette difficulté, il faut faire le point sérieusement, probablement faire appel à un professionnel, car on ne change pas un programme élaboré et maintenu pendant plusieurs années en quelques minutes (et encore moins en lisant des articles ou en regardant des vidéos sur internet, car il faut passer à l’action). On peut demander une consultation ou un accompagnement, afin de détricoter les croyances erronées, ce qui prend du temps et nécessite l’appui d’une personne extérieure.

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Deuxième clé : une mauvaise identification du problème

Nous n’arrivons pas à résoudre notre problème, parce que nous ne l’avons pas vraiment identifié. Nous n’utiliserons donc pas la bonne stratégie pour lui apporter une solution.

Si notre problème réside dans le fait de ne pas identifier notre problème correctement, nous pouvons faire un travail pour identifier notre propre désir.

Pour pouvoir faire cette recherche, il faut se baser sur les sentiments de frustration que l’on éprouve. Pendant quelques semaines ou quelques mois, on peut prendre des notes à chaque fois que l’on éprouve de la frustration. On note sur un carnet le jour, l’heure, le contexte. Par exemple, si l’on ressent de la frustration quand on est seul, ou si c’est lorsqu’on pense à sa famille que l’on se sent mal, ou si c’est aller au travail qui nous ronge (etc.), nous pourrons par la suite diagnostiquer le problème, formuler notre désir, et ensuite dire ce que nous souhaitons faire pour nous sentir plus en paix.

Cette méthode est également intéressante pour les personnes qui ne savent pas ce qu’elles veulent dans la vie ; elles peuvent apprendre à se connaître et à identifier leurs désirs en partant du sentiment de frustration qu’elles ressentent. (Ces personnes ont souvent été dirigées par de fortes personnalités durant leur enfance, et elles ignorent leurs propres envies. Voir à ce sujet l’article « Esprit de décision, es-tu là ? »)

Par ailleurs, nous pensons peut-être avoir des manques et des besoins, qui ne correspondent pas vraiment à la réalité. Par exemple, nous croyons peut-être avoir besoin de plus d’argent, ou bien nous pensons avoir besoin d’un partenaire dans votre vie pour atténuer certains sentiments de mal-être.

Dans le cas où le problème est mal identifié, il est nécessaire de nous appuyer uniquement sur les faits : si nous pensons avoir besoin d’argent , on peut prendre note de nos rentrées d’argent et de nos dépenses pendant au moins un mois, et nous pourrons (avec l’aide d’un professionnel) tirer les conclusions les plus exactes. Notre besoin réel est peut-être d’apprendre à mieux gérer nos finances, etc.

Si nous pensons guérir un mal-être en nous liant avec quelqu’un, on procède de la même façon, on s’appuie également sur du factuel : on peut se remémorer nos relations passées, l’harmonie qui y régnait et notre état intérieur. On fixe notre mémoire non sur les débuts de la relation, mais sur la période qui a suivi. Même si chaque relation est différente, le climat des relations passées nous donne une idée de la relation que nous pouvons établir avec quelqu’un. En réalité, la présence d’un partenaire dans notre vie ne nous permettra pas d’apaiser notre mal-être, si nous avons une relation difficile avec nous-même. Notre besoin réel est peut-être de développer davantage la connaissance de soi, pour pouvoir établir de meilleures relations avec une autre personne.

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Troisième clé : les bénéfices secondaires

Nous ne résolvons peut-être pas notre problème, parce que la situation dans laquelle nous nous trouvons nous apporte des bénéfices secondaires, et ces avantages dépassent la frustration que nous ressentons, aussi forte soit-elle.

C’est une certitude établie, à considérer avec réalisme : si nous ne profitions pas de certains avantages dans cette situation, nous l’aurions déjà changée !

Cependant, pour bien comprendre cette idée de « gains » secondaires, il faut savoir que l’évaluation des bénéfices induits dans la situation est subjective. Elle est construite sur des croyances que nous avons sur nous-même, de longue date, sur des croyances que nous avons sur les autres, et sur des conditionnements que nous perpétuons, comme un programme immuable.

=> L’être humain n’agit pas selon des critères objectifs et raisonnables, comme il le croit, mais il agit en fonction de ses schémas internes, dont la plupart sont enfouis au fond de son inconscient.

Ce sont ces programmes qui nous poussent à agir de façon inappropriée, et selon des critères inadéquats (enfin, cela dépend du point de vue auquel on se place !) Par exemple, nous restons avec notre partenaire alors que la relation est à bout de souffle, parce qu’elle nous permet de perpétuer un état de dépendance, comme avec un de nos parents durant notre enfance. Autre exemple : nous manquons d’argent parce que nous perpétuons un sentiment de pénurie et des peurs, que nous avons déjà bien connus dans le passé, et que nos ancêtres ont bien connus dans les époques passés … Les « gains », dans ce cas, sont notre attachement à l’habitude, notre dépendance au connu, ou notre fidélité à notre famille.

Prendre conscience de ces parts de soi-même oubliées ou méconnues est essentiel. C’est pour cela que la connaissance de soi, le travail sur soi et l’auto-observation, mis en perspective à l’aide du symbolisme astrologique (interprété par un astrologue compétent) est une démarche non seulement utile mais indispensable.

Les consultations d’astrologie et les accompagnements par téléphone ont cette fonction, principalement : nous aider à développer plus de conscience, progressivement (c’est le travail de toute une vie, puisque nous sommes sur Terre pour faire ce travail, en tant qu’âmes).

A court terme, nous pouvons également travailler pour dépasser nos limitations et réaliser nos (véritables) objectifs, en nous permettant de nous développer et de nous épanouir.
En consultation ou en accompagnement d’astrologie, on travaille à partir du problème que vous rencontrez actuellement, pour vous amener à le résoudre concrètement, tout en travaillant la connaissance de soi (tout est relié.)

Ecrivez-moi à anne@jesuisjecree.com. Regardez la page des consultations en cliquant ICI

Anne L jesuisjecree.com