Depuis quelque temps, une femme, nommée Anneke Lucas, s’exprime dans des médias alternatifs. Ces médias qui lui donnent la parole sont d’ailleurs vivement attaqués par d’autres médias plus conventionnels qui mettent en doute les méthodes journalistiques des intervieweurs. Comme à l’habitude, un conflit se joue entre l’information non officielle sur internet, vue comme la propagation de fausses nouvelles (« les « fake news » dans le langage convenu), et les journalistes de métier, plus fiables car respectueux d’une méthode et d’une déontologie. A priori, on peut évidemment reconnaître l’existence d’abus sur internet ; la prudence doit être de mise quant à l’absorption des informations délivrées.
Il est vrai également que toute information devrait être vérifiée, par des enquêtes journalistiques. On sait que c’est de moins en moins le cas chez les journalistes officiels également, le terme « journaliste » tendant à être vidé de son sens. Par ailleurs, il est évident que certains sujets sont hautement dangereux …
Dans nos sociétés, si le pouvoir était exercé de manière occulte, il est certain que les journalistes conventionnels seraient sous sa direction, et ne révèleraient au public que les informations que ce pouvoir jugerait suffisantes et nécessaires pour exercer son emprise sur la population …
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A. Lucas, sur les réseaux de pouvoir (astroair-du-temps.blogspot.com)